Articles de Azrahen - #4 L'Iris
Les Hivernales
#4 L'Iris
À l'orée de cette clairière enneigée
Dissimulé dans l'ombre un félin attendait
Que se soit tu l'écoulement de cette pluie
À l'heure où toute pendule sonnait minuit
Les gouttelettes martelèrent le sol froid
Dans le vacarme assourdissant toutes ces voix
Comme un bruissement sifflotant venu des astres
Annonçaient vaguement ce revenu désastre
Oh que la peine des cieux peut être forte
Le cœur battant comme un millier de cohortes
Le petit félin regardait son corps meurtri
Une larme brisa le flot régulier
À toutes les autres elle vint se lier
Son cœur et la nature en douce harmonie.
Publié le 25/12/2010 - Pas de modifications