Cette nuit la, était une nuit comme toute les autres. Il faisait froid, ce qui est normal en plein hiver, mais la chaleur des foyers réchauffait les cœurs des citoyens. Du moins, c’est une soirée qui avait commencé comme toute les autres…

C’était la soirée de la treizième lune. Cette lune était, comme toute les nuits de treizième lune, absorbante par sa beauté.

C’était une nuit comme tant d’autres…

Depuis quelque temps, on racontait par ci, et par la que la Légion Ardente allait revenir. Mais personne ne pensait que cela arriverait cette nuit la… Une nuit qui avait commencé comme tant d’autre…

Dans le petit village, tout était calme, quand, tout a coup, un Orc fit son apparition, l’air pressé. Se demandant ce qu’il se passait, les habitants se réunirent au centre du village, pour écouter le message de l’Orc.

« Bonjour, citoyens de la horde. Je suis Urkdúsh, messager de Thrall. Je suis venu vous avertir que la Légion ardente était passée en action la nuit dernière. Nous devons agir au plus vite. Vous comprenez que nous avons besoin de chacun de vous. »

Tout le monde, dans ce petit village, avait peur. Peur de recommencer la guerre contre la Légion ardente. Chaque homme, Chaque femme pouvant combattre furent engagés. Petits villageois, artisans de quartier, aucun d’entre eux n’étaient trop important pour ne pas aller en première ligne. La plus parts d’entre eux moururent dans la nuit qui suivait. Certain furent réduit à l’esclavage, d’autres furent torturés, mais à la fin, tous moururent. Tous, sauf un. Alors que la guerre faisait rage, gravement blessé, fut recueilli par un Drainei. Inorio était son nom, porteur de lumière dans son petit village était sa fonction. Les trois premières années [de la guerre], Inorio les passa a soigné L’elfe de sang qu’il avait sauvé. Les années suivantes, cet elfe de sang eu un enfant. Les années passèrent, Inorio se faisant de plus en plus vieux et l’elfe de sang sauvé mort, Inorio décida d’apprendre la voie de la lumière à l’enfant de l’homme qu’il avait recueilli. Malheureusement, il n’eu pas le temps de tout lui apprendre. C’était une nuit de treizième lune, qui avait commencée comme toutes les autres nuits de treizième lune, quand Inorio poussa son dernier soupir.

Sur un lit, il y avait le corps du défunt. A son pied, l’enfant était agenouillé, et tout en pleurant, posa la bénédiction sur le corps de Inorio. Tout le monde était désolé pour l’enfant, désormais orphelin. Personne ne savait ce qu’il allait devenir. Les liens entre l’alliance et le peuple pacifique des Draineis se renforçant, tout comme ceux entre les elfes de sang et la horde, il était devenu impensable de garder l’enfant. Inorio avait tout prévu. Il faut dire aussi qu’il était connu comme un homme très mystérieux, mais aussi très intelligent. Il avait chargé le chef de ce village de remettre une lettre à ce jeune elfe de sang. Après la bénédiction du corps, les prêtres passèrent à la bénédiction de son esprit. Le corps devenant peu à peu incinérer, les gens décidèrent de rentrer chez eux. C’est a ce moment, que le chef du village s’approcha du braisier, au pied du quel l’enfant accorda une dernière bénédiction. A haute voix, pour être sure que l’enfant l’écoute, il prononça quelques mots :

-         Inorio était un homme intelligent. Il savait dès le début de la guerre contre la légion ardente, que nous allions nous unir avec l’alliance. Bien avant avoir secouru cet elfe de sang, d’ailleurs. Il savait que nous ne pourrions le garder éternellement avec nous.

-         Je vous l’accorde, répondit l’enfant, mais si Inorio était si prévoyant, il ne m’aurait pas laissé comme cela. Je vais devoir partir, seul, sans argent et je ne sais même pas ou je me trouve.

-         Pendant toute ces années, tu lui as fait confiance, n’es-ce pas ? Pourquoi ?

-         Oui, je lui ai fait confiance. Je le croyais porteur de la lumière, et sa mort m’a apporté les ténèbres et le chaos pour le reste de ma vie. Je lui faisais confiance, car, malgré nos différences, il me traitait comme si j’étais un Drainei. Pour moi, c’était un véritable ami.

-         Inorio avait raison. Tu as l’air prêt pour finir son devoir.

-         Il avait raison ? je ne comprends pas.

-         Depuis ta naissance, Inorio avait vu en toi quelque chose d’exceptionnel. C’est pour cela qu’il avait décidé de t’enseigner la voie de la lumière, sachant très bien qu’il n’aurait pas le temps de tout t’apprendre. Il avait tout prévu, je te l’avais dit… D’ailleurs, il y a bien longtemps, il m’as demandé de te remettre ceci à sa mort »

Le jeune elfe de sang commença sa lecture, alors que le chef du village retourna chez lui.

« Depuis le début, j’ai su que ce moment allait arriver. Tout était écris. Si tu reçois cette lettre, c’est que le chef du village a accepté ta présence pendant toute ces années »

A ces mots, il chercha après le chef du village, pour lui accorder son plus grand merci, mais en vain. Le chef était déjà loin.

« Je suis content d’avoir partagé mes dernières années à t’enseigner la voix de la lumière. Tu dois prolonger mon savoir. Tu es le seul à pouvoir le faire. C’est pour cela que je t’ai choisis. Rentre à la maison, prend un sac avec de la nourriture. Je t’ai laissé toute ma fortune. Elle se trouve dans la petite bourse dans ton sac. Sur la table de la pièce principale, il y a aussi un vieux grimoire. Prend le, il te sera utile pour noter toutes tes nouvelles connaissances. Le bouclier et la masse que je t’avais interdit de touché, prend les, ils sont désormais à toi. Tout cela va te permettre de te défendre. Le chemin que tu devras faire sera long, difficile et surtout très dangereux. Mais je sais également que tu peux y arriver. N’oublie pas, de l’Au-delà je te suivrai. Je sais que tu vas y arriver. La personne que tu dois trouver, se nomme A’dal. C’est un Naaru. Je t’ai déjà montré des Naarus. Il se trouve non loin des montages d’or, derrière la forêt noire. C’est la seule personne à qui tu peux faire confiance. Ne fait confiance à personne d’autre, tu pourrais le regretter. Retourne prendre tes affaires, et pars directement. Certains du village pourraient essayer de te tuer d’ici peu. Ne traîne pas en route.»

Le jeune elfe retourna chez lui, pris toutes ses affaires, et partit.

Le jeune elfe, quitta donc le village. Pour arriver à la forêt noire, il devait passer par les abîmes de l’enfer. Ces grottes portaient se nom la, car c’était un vrai labyrinthe. Très peu de personnes arrivaient à en sortir en vie. Inorio faisait partie de ces personnes.

Arriver aux portes, le jeune elfe hésita. Puis, pensant à la lettre D’Inorio, il s’avança et entra dans les abîmes. Il avait fait son choix, son destin était tracé. Notre courageux amis, rusé, intelligent et très habile de ses mains, avait décidé de s’attacher à …une corde, qui était elle-même reliée à un poteau. Ainsi, s’il se perdait, il pouvait toujours revenir sur ses pas. A l’entrée des grottes, une boussole géante, trop lourde pour être transportée, était posée sur le sol. Elle indiquait que la sortie se trouvait à l’est. Après des heures de marche, des centaines de directions différentes, ou pas, car tout ici se ressemblait, le jeune elfe retourna sur ses pas à l’aide de la corde. Il ne fit que quelques mètres avant de voir que quelqu’un avait coupé, et retiré l’autre partie de la corde. Il se trouva donc perdu, en plein milieu d’un labyrinthe géant. Il savait qu’il n’y avait pas que lui sur place. Mais l’autre personne, celle qui avait donc coupé la corde, n’était sûrement pas amicale. Et pourtant, peu après, quelque chose se manifesta. D’abord en léger bruit, ensuite en mouvement, et enfin quelque chose apparu devant lui. C’était un Gobelin. Il essaye à de nombreuses tentatives de proposer son aide au jeune elfe. Mais Il préférait ne faire confiance à personne. Le Gobelin était un vrai monstre. Un monstre de la tentation, mais le jeune ne céda pas. Et, après quelques jours passés dans ce labyrinthe, la nuit tomba. C’était une nuit de treizième lune, une nuit comme toute les autres. C’est le seul jour de lune (ici, la période est de 28 jour (période de rotation de la lune, d’ailleurs, nous avons une pleine lune tout les 28jours^^) la période dont je parle ici, donc 28jour, correspond à un de nos mois.) de la période, où les étoiles étaient en alignement parfait. Elles fixaient…l’est. Grâce à cela, notre jeune ami pouvait se situer ! Et oui, la sortie, d’après la boussole située à l’entrée, se trouvait à l’est ! En suivant le tracé des étoiles, il trouva enfin la sortie. Le Gobelin avait disparu.

Le jeune elfe de sang avait fini la première partie de son long voyage. Après un repos bien mérités, il repris son chemin. Peu de temps après, il rencontra un géant. Celui-ci lui dit :

-         Je te félicite ! Tu as réussi à passer les abîmes de l’enfer. Tu n’as donc pas subis à la tentation du gobelin, et tu as su te servir de ton intelligence pour sortir.

-         Je vous remercie, répondit l’elfe, mais puis-je savoir qui êtes vous ?

-         Je suis Horkard, le géant. Tu as su utiliser ton intelligence, mais maintenant seul ta force de permettra de continuer. Je ne sais pas qui tu es, ni ou tu vas, mais pour continuer tu devras me tuer !

-         Vous savez, dit l’elfe d’un air négociant, nous ne sommes pas obligés de faire ça…

-         La négociation ne marche pas avec moi ! cria le géant.

Le géant sortit son arme et passa à l’attaque. Le jeune elfe, évita habilement la première attaque et contrattaqua. Malheureusement, ses attaques semblaient peu efficaces, même inutiles. Plus il frappait, plus le géant riait de sa faible force. Il réfléchit, et pensa que sa seule solution, était de fatigué le géant. Pour se faire, il encaissa beaucoup de coup, en esquiva encore plus. Il fit preuve d’une extrême endurance. Le géant, fatigué, tomba de fatigue. Le jeune elfe, s’empara de son arme, et en profita pour tuer le géant.

Il continua son chemin, et arriva enfin à la forêt noire.

Une fois arrivé sur place, il s’accorda un repos bien mérités. Mais cela était dangereux, personne ne savait exactement se qu’il y avait dans la forêt noire. Les seules choses que la légendes racontaient dessus, c’est que seule les meilleurs combattant pouvaient y arriver, et les bêtes qu’on y rencontrait étaient des plus féroces de ce monde. Il fut brusquement réveillé par des espèces de créatures exotiques. Il était encerclé. Il n’avait plus le choix, il devait frapper vite, et fort. Il était dix, lui seul. Il savait que s’il attendait, il allait mourir. Il passa donc en action, sachant qu’il devait tous les tuer en un seul coup. Cette fois, ce n’est plus son endurance, ni son intelligence, qu’il devait utiliser, c’était sa force. Il fonça, et frappa mortellement trois d’entre eux. Sa masse était cassée. Il ne lui restait plus que son bouclier, pour vaincre sept d’entre eux. Il décida d’utiliser son savoir de la lumière pour s’aider. Il se concentra une dernière fois, et lança de toutes ses forces son bouclier. A son grand étonnement, ce ne fit pas son bouclier qui partit, mais une copie lumineuse de celui-ci. Il venait de découvrir comment utiliser bouclier du vengeur.

Il traversa la forêt noire sans aucune difficulté. Avec l’expérience qu’il avait tiré des étapes précédentes de son voyages, rien de plus normal. Et enfin, il vit les collines d’or. Elles étaient magnifiques, mais surtout magnifiquement bien gardées.

C’était une nuit de treizième lune. Une nuit, comme toute les nuits de treizième lune. Il arriva à l’entrée des montagnes d’or, et reconnu un Naaru.

Le Naaru l’arrêta. Et pendant près de la durée d’un quart de nuit, le Naaru le fixa, et lu dans ses pensées. Il avait l’air de s’endormir quand tout à coup, il dit :

-         Bonjour, jeune garçon. Je suis M’uru, peuple de la tribus des Naarus. J’ai vu dans tes pensées que tu étais l’élève d’ Inorio. Il est déjà venu ici dans sa jeunesse. Je suis désolé pour ce qu’il sait arriver.

-         Bonjour M’uru, dit le garçon un peu intimidé.

-         N’aille pas peur de moi. Je vois que tu es venu pour rencontrer A’dal. Je vais te conduire chez lui……… (le temps passe, ils arrivent  chez A’dal). Bonjour A’dal.

-         Bonjour, M’uru. Je vois que tu n’es pas seule. Bonjour, jeune elfe, disciple d’Inorio.

-         Bonjour A’dal. Mon maître m’a dit de venir te voir pour finir ma formation.

-         Je le sais, répondu A’dal. Je vais t’apprendre un peu plus la voie de la lumière, mais ton voyage t’a déjà appris beaucoup de chose.

Après cette discussion, A’dal pris le jeune elfe en élève. Son apprentissage dura 2 périodes de lune. Ensuite, notre jeune ami se dirigea vers Orgrimmar pour y apporter la lumière. C’est la que, pendant la nuit de la treizième lune, une nuit qui avait commencé comme toute les autres, il fit la connaissance de Shalia, une jeune elfette de sang.

Petit message concernant l’histoire : le jeune elfe dont on parle ici, est le père de Yùnâ (ma paladine). Shalia est donc ma mère. Si cela vous intéresse, je vais écrire l’histoire de Shalia et une courte histoire sur moi-même. Consulter régulièrement, ça ne va pas traîner =) (j’attend vos com’s !)