Articles de Jorghen Delandoire - Dans le mirroir
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Je commençais donc mon apprentissage. j'eu vite fais de rentré dans la seconde partie de Deathknell. Contrairement à la notre, celle-ci était laissé à l'abandon, aucune infrastructure ne tenait encore debout, elle était envahit de zombie décérébré qui erraient lentement sans but aucun, plutot innofensivement. Mais malgré tout ceci ils étaient nos ennemis, des êtres que nous devions purifier, car leurs présence servait le fléau !!! J'ai sentit une haine profonde, une rage ... Un sentiment? Bref j'ai attaqué au plus vite ces zombies, rentrant dans une batisse pour les exterminer

J'ai remarqué avec quelle aisance je pouvais m'en débarasser. J'ai donc oeuvré encore et encore, tuant plus qu'on ne me l'avait demandé. Lorsque je suis ressortis j'en voulais encore plus, cette rage me donnant de nouvelles forces. J'ai continué mon oeuvre de bienséance encore longtemps. Je ne sais pas combien de temps exactement, j'en ai tués beaucoup, mais il y en avait toujours plus.

 

Je suis finalement retourné voir Sarvis qui me récompensa de mes efforts. Il me confia dès lors la tache de détruire d'autre serviteurs plus féroces. Ils étaient à Deathknell les meilleurs serviteurs du fléau. Je n'attendit même pas mes obligations. Je savais que je devais protéger les miens pour la Dame Noire. Mes exploit pouvais peut être un jour parvenir à ses oreilles? J'ai donc continué mon oeuvre, laissant virevolté ma carcasse alors que mes vers, ma peau, des rainures d'os s'envolait à chacun de mes mouvements. Il n'y a pas de grace dans la mort non, mais il y en a dans l'art de l'offrir.

 

Une fois mon oeuvre finis, j'ai remplit quelques petites fonctions, des problèmes souvent d'animaux un peu trop ... envahissant. J'ai remarqué qu'au fil des périples (soit il souvent peu dangereux) mes frères me regardaient avec plus d'attention. Je commencais à avoir comme beaucoup de gens ici, un petit nom.

On me confia enfin une mission valable: Attaquer les hommes de la Scarlet Crusade. J'avais pensé qu'ils seraient en temps qu'être vivant plus dur à tuer ...

Mais je me suis bien vite rendu compte de mon erreur. Ils sont si pitoyable, des pauvres brebis égarés, des petits jouets qui pensent que nous sommes une hérésie. Mais par la Dame, je me suis longuement amusé avec eux, lacérant leur peau avec douceur, faisant remonté ma lame dans leur Thorax, ouvrant l'ajigulaire, alors que leur sang osé me toucher. Mais tout fut trop vite finis. Ils ne m'amusaient plus...

Je repartis donc vers Deathknell. Là bas on m'offrit un peu d'argent, avec ce que j'avais récupéré grace aux "dons" des Membres de la Scarlet, je pu m'acheter une armure. Elle était en pas trop mauvaise état. Le vendeur me la fit essayer et c'est là que pour la première fois dans une vitre brisée, je me suis vu ...

 

J'avais compris... La mort m'avais conféré un pouvoir de destruction, une vision et surtout ... L'art de faire peur et de déranger.

Publié le 14/06/2008 - Pas de modifications
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