Graouur
Race: Tauren
Classe: Druide
Guilde: La Horderie
Niveau: 34
Serveur: Elune
Jeu: World of Warcraft
Etat: Actif
Infos
5 articles
0 commentaires
0 images
Du même auteur
Rejoignez-nous !
Publiez vous aussi les exploits de vos personnages en ouvrant un compte sur rp.azrelia.fr !
Site hors-charte
Choisissez une catégorie
5 messages - Cliquez sur un titre pour afficher la page dans une autre fenêtre

Le chagrin


http://fr.youtube.com/watch?v=rbTozgoj9OQ

 


Non loin du petit pont, j'arrivais sur celui-ci, en marchant d'un pas lent et las, par une fin d'après-midi d'un hiver morose. 

 
Un pont modeste, traversé par une petite route goudronnée de campagne, d'à peine trois mètres de largeur, aux rebords en poutrelles de bois, agencés en croisillons, pour soutenir les passants qui s'accouderaient à ceux-ci. 
 
Dans une campagne improbable, par un dimanche grisâtre, à la limite du pluvieux, comme si les cieux ne voulaient pas m'accorder la frustration d'être mouillé par la fine bruine, qui menaçait cependant juste suffisamment de tomber pour maintenir la morosité, en entretenant le sentiment d'ennui et de soumission impuissante devant les éléments capricieux.
 
Arrivant sur le pont, j'entendis le son de l'onde, épanchant son chant continuellement, semblant avoir été là de toute éternité. Je m'arrêtais, n'ayant plus de temps à accorder à la trépidation des palpitations et agitations humaines. Je m'accoudais au rebord en bois, n'accordant qu'un bref regard aux vis rouillées qui maintenaient la barrière séparant la route du petit ruisseau. 

Et je me penchais sur les rebords du petit pont, et j'étais seul...
 
Sa berceuse était douce, au débit faible ; peut être une vingtaine de litres par seconde, la taille du pont étant proportionnelle au flux se déversant, traversant la route par en dessous sans aucun souci du monde des hommes. Le ruisseau n'accordait aucune importance au sort des habitants de ce bas monde, et son écoulement permanent faisait fi des sentiments qui animaient les promeneurs qui s'égaraient à sa morne contemplation. 
 
L'eau était. Elle ne pensait pas, ou alors pas comme nous. Pourtant elle aussi elle se battait contre les obstacles qui semblaient vouloir s'opposer à son écoulement incessant, qui d'une branche, qu'elle contournait habilement, qui d'un amas de pierres, à travers laquelle elle s'insinuait avec fluidité, et avec bien plus d'aisance que n'importe quelle passion humaine déchirante. 
 
En me penchant, en regardant ce spectacle d'un coin de nature perdu, seul, je fléchis mon dos, m'appuyant avec nonchalance sur l'appui en bois, d'un marron foncé représentatif d'une peinture pour protéger des intempéries. Et, au bout d'un moment, mon regard se fit peu à peu trouble, perdu, la vision de la scène faisant se fusionner les différents éléments du décor en une même entité aux couleurs se mélangeant par paquets, signe d'un abandon progressif de la maîtise de mes sens, et de la vigilence habituelle d'un promeneur, même paisible. 

Et mon regard se troublait sur le petit pont, et j'étais seul...
 
Puis je laissais mon esprit vagabonder, le laissant vaquer librement à ses intentions mystérieuses et insondables, dans un abandon qui se détendait dans un désir d'oubli, tout en laissant mes sens continuer de respirer ses perceptions innées et automatiques. Que disait-elle cette eau qui coulait ? Rien. Seulement une succession de clapotis qui ne s'amenuisaient jamais que dans des suites de variations de sonorités, certes douces, mais qui tournaient dans le cycle sempiternel du recommencement, en donnant l'impression qu'elle n'avait rien d'autre à faire qu'à s'évertuer à couler, en oubliant complètement ce qui n'était pas sur son passage, indifférent à l'hostilité ou la gentillesse des relations humaines. 
 
Cette sensation sonore me fit prendre conscience que je me laissais aller, et que je n'avais plus envie de lutter, de vivre, plus envie de me battre, dans cette vie qui semblait d'une absurdité inéfable et indifférente à notre perpétuation. Cette sensation finit par se muer en sentiment, celui de la tristesse.
 
Un chant inconsolable d'une douleur, plus sournoise qu'une douleur vive, et qui s'insinuait lentement dans les pores de ma pensée, trouées telle une nasse de filet à larges mailles, signe d'une vulnérabilité évidente, et, de guerre lasse, je me laissais envahir par ce sentiment.
 
Et j'étais triste, et j'étais seul sur le petit pont...
 
Cette tristesse se mua en chagrin. Ce n'était plus uniquement de l'ordre du sentiment, mais un cumul de sentiments affligeant avec des ressentis corporels, ayant l'impression que ce que je vivais en mon fort intérieur se déversait à son tour dans l'ensemble de mon être. Je n'étais plus que chagrin. Il n'y avait plus rien. Plus rien d'autre que cet état, qui s'apesantissait de plusl en plus, le petit pont et le ruisseau, médiateur et spectateur silencieux de mes sentiments passant au second plan, pour disparaître à son tour, dans un aveuglement mental se rapprochant de l'intégralité de ce que j'étais.
 
Puis, avec naturel, arrivât ce qu'il devait arriver. Ma vision se troublât complètement, pour être recouverte d'un voile blanchâtre, qui troubla définitivement la vision du spectacle de cet endroit. Une goutte amorçat sa chute, partant de mon oeil droit, pour s'écouler le long de ma joue, avec lenteur, pour se perdre dans les méandres de mon visage mort. Pour rendre la pareille, une autre goutte entama sa formation, puis sa chute, en partant de mon autre oeil, pour laiser une petite sensation de liquide gênant mon visage, mais quelle importance ?
 
Mon visage se pencha encore plus en avant, puis mon dos, fléchissant dans un renoncement à ce chagrin, pour le laisser m'envahir complètement et définitivement. Je n'étais alors plus que pleurs, et des gémissements couvraient peu à peu l'écoulement de cette onde du petit ruisseau, les gouttes de larmes tombant dans celle-ci, se noyant dans un chagrin qui me noyait d'une souffrance émotionnelle sans nom. 
 
La douleur atteint alors son paroxysme, et je fus obligé de me couvrir le visage de mes mains, dans un réflexe inexplicable. Etait-ce une intention inconsciente de pudeur, ou pour tenter dans une vaine attitude de me protéger d'une honte injustifiée et irréelle ? Quel fondement pouvait on accorder à un sentiment et une émotion qui n'était pas de notre ressort ? Qu'on subissait involontairement, et de façon totalement incontrôlée ?

Et je pleurais, et j'étais seul sur le petit pont...
 
Plus rien ne comptait. Plus rien n'existait que la souffrance et les trésautements de mon ventre, dans des séries de hoquets de chagrin, qui augmentait l'aspect insupportable de cette néantisation de la vie. Ma pensée n'était plus non plus. Je ne maîtrisais plus rien, et il fut impossible de penser, le désespoir étant l'antipode de la raison et de l'existence. Les larmes coulaient abondamment, se dispersant sans retenue aucune sur mon visage déformée par la souffrance et le malheur. 
 
Et je n'existais plus, et j'étais seul sur le petit pont...
 
Après un temps indéfinissable, où l'écoulement du temps semblât se dissoudre à la façon de l'épanchement sans fin de l'eau, les spasmes de douleurs se raréfièrent progressivement. Les pleurs et les larmes se réduisirent eux-aussi petit à petit, et la douleur diminuait en intensité. Les émotions se firent moins vives, et le calme revint peu à peu. 
 
Je retrouvais ainsi un premier fil de pensée, ténue, certes, mais néanmoins présent, dans lequel ma première impression fut un dégoût profond et amer face à la vie et l'existence. Reprenant ma respiration, cette dernière sensation biologique contribuât à retrouver un début d'apaisement, bien que parsemé de dernières larmes, qui achevaient de brosser le portrait d'un triste sire, seul dans sa tourmente et abandonné de tous. 
 
 
Ce chagrin était-il fondé ? Cette pensée me traversait de plus en plus souvent, me ramenant progressivement à la terrible raison. 

Ô Dieu oui, il était fondé...
 
Méditant alors sur l'absurdité de la vie, et tentant de penser que tout n'était qu'éphémère, pour dédramatiser un chagrin inconsolable, je relevais mon visage. Je détournais mon regard de l'eau du petit ruisseau vers la gauche, comme pour tenter de me faire changer d'idée, en me disant que si je regardais autre chose, je penserais alors à autre chose. 
 
Mais non, l'émotion vive et intense que je venais de vivre était toujours présente, bien que sous une autre forme. D'une émotion pure et douloureuse, et elle s'était changée en pensée tenace et présente de façon insupportable, et dont la lucidité muait la douleur au lieu de la supprimer. 
 
Mon regard se détournât une seconde fois, un peu plus vers la gauche, et mon regard se détachât de la scène du pont pour arriver sur la route vers laquelle j'étais venu. Une pensée me traversât alors l'esprit : je me dis que ce qui était à notre gauche représentait le passé, tel que le disaient les écrits sur l'analyse morphopsychologique, et que ce que je venais de vivre n'était que la reviviscence d'une partie de mon passé, qui me pesait tellement qu'il me fit tant et tant souffrir sur ce petit pont. 
 
Cette pensée me donnât alors le réflexe inconscient de tourner brusquement mon regard vers la droite, signe du futur, et aussi de l'opposé de la route par laquelle j'étais venu avant d'arriver sur le petit pont. Je regardais, puis, alors que j'étais encore dans un état d'abandon certain, de vulnérabilité incontestable, un petit vélo fit son apparition, surmonté d'un petit enfant qui devait avoir pas plus de 4 ans, qui faisait son petit chemin gauchement. Tantôt pédalant pour avancer, tantôt négociant des virages involontaires à cause de sa maladresse enfantine et la faiblesse physique de son jeune âge. 
 
Et c'est alors que je me dis : aurais-je des enfants un jour ? 
 
Cette pensée occupant l'espace de ma mémoire immédiate de façon de plus en plus prononcée, elle permit de me faire oublier progressivement la douleur que je vécu séant, puis je repris conscience de mon corps, puis du décor qui m'environnait, et j'abandonnais le petit ruisseau pour achever de traverser le petit pont sur lequel je m'étais arrêté pour reprendre ma promenade dominicale... Seul...
 
 
 
Pauvre Waf Waf.

 

Poster un commentaire - Commentaires (0)
Créé le 21/12/2008 à 23:36:22 - Modifié le 18/01/2009 à 06:07:19
La merveilleuse aventure de World of Warcraft



Un jeu, une passion.
D'un ami, qui m'en parla,
A la belle saison :
"Tu y participeras?"

Me demanda-t-il sans me forcer.
"Je ne sais pas", lui ai-je répondu,
"Mais ça peut m'intéresser."
Il s'appelait Shimazu.

Aurais-je pensé un seul instant,
Que ce "Oui" à l'abonnement,
Allait changer mes évènements,
Et me faire entrer dans le firmament?

D'un jeu d'aventure, nommé MMORPG,
J'allais vivre d'extraordinaires épopées,
Et des combats plus que fabuleux.
Et surtout j'allais les connaître eux.

Mes grands compagnons de guilde,
Mes dignes et fiers frères d'armes.
Ceux qui allaient devenir mes guides,
Allant jusqu'à verser des larmes.

La Guilde des Larmes d'Azeroth,
Ma première et légendaire corporation,
Qui m'apprit à placer la barre haute,
Pour monter mon personnage avec passion.

D'un Millianne qui va devenir un personnage,
De mon histoire, cette épique fiction,
Il en fut le premier Maître sans ambages,
Et assuma dignement sa fonction.

Puis il y eut Yamcha,
Un terrible démoniste lui aussi,
Qui fut fort sympa,
Grâce à qui je devins un Orc accompli.

Chemin faisant, il partit lui aussi,
Rejoindre la Guilde Paul Le Pêcheur,
Et le jeune Gurnak fut choisi,
Pour reprendre les rênes et le labeur.

Sous l'impulsion de Yamcha,
Un canal commun IG fut créé,
Pour entres guildes communiquer.
Cette idée très loin porta.

Cela permis au-delà de toute espérance
De faire fusionner sept guildes,
Et de voir un beau jour la naissance,
De cette belle et grande Horderie.

Plus d'un an de batailles,
D'instances en pagaille,
Dont Molten Core et BWL,
Pour ne citer que les plus belles.

Puis vint la Burning Crusade,
L'extension de Blizzard,
On avait beau me venir en aide,
J'arrivais toujours trop tard.

Une vie IRL chargée,
Des impératifs à assumer,
Je ne pus continuer,
Qu'à farmer et upper.

Quand mon perso arriva au niveau soixante-dix,
J'essayai pourtant de jouer comme jadis,
Mais la dure réalité dut me rappeler.
Et pendant longtemps je ne fis que du PvP.

Depuis, un schisme s'est créé,
D'une mésentente entres officiers,
Une nouvelle guilde bientôt arrivait,
Et Les Ailes du Chaos était née.

Aujourd'hui, quand je repense à tous ces souvenirs,
Je vois que ma guilde existe toujours,
Que l'ardeur de mes compagnons continue sans faiblir,
Avec passion dans leur parcours.

Quel sera alors l'avenir?
Je ne le sais encore aujourd'hui,
Mais je continuerais de taper dur,
Contre ces ennemis d'allis.

Et longue vie à WoW,
Un des meilleurs MMO,
Dont les concepteurs peuvent s'enorgueillir,
Je suis sur que ce jeu n'est pas près de se ternir.


FloOk

Poster un commentaire - Commentaires (0)
Créé le 14/02/2009 à 11:50:48 - Pas de modification

Chères Tarides aimées


Chères Tarides bien aimées,
Vous avez des plaines magnifiques,
Vertes, et de buissons parsemées.
Comment pouvais-je rester stoïque?

Vous avez vu mes premiers pas dans vos contrées
Moi jeune orc alors épris de liberté,
Je courrais dans vos vastes vallées
A en perdre haleine jusqu'à m'essoufler.

Rien n'avait d'importance alors,
Que d'admirer vos paysages
Qui sont de véritables trésors.
Ils exaltaient mon insouciance.

Je suis passé par la Croisée des chemins,
Petit bastion de la Horde, souvent attaqué,
Mais toujours sur pied malgré ces assassins.
Te protégeant par le combat je m'y suis émancipé.

Puis j'ai poursuivi vers le sud mon chemin
Pour arriver au camp Taurajo,
Ce petit village perdu et lointain,
Là, je me suis arrêté tantôt.

Et je me suis pris doucement à rêver.
J'avais le ventre plein, j'étais rassasié,
L'astre solaire achevait son périple journalier
Me réchauffant de ses derniers rayons d'été.

Après toutes ces batailles terminées,
Je me sentais vraiment bien,
Me sentais enfin serein,
Et avec l'esprit totalement en paix.

Je somnolais encore quelques instants,
Puis enfin je m'endormis profondément.
Je rêvais pour de vrai cette fois,
Et mes songes peuplés de ces souvenirs là.

Poster un commentaire - Commentaires (0)
Créé le 14/02/2009 à 11:51:59 - Pas de modification

Petit Paguri


Toi, mon premier démon,
Un tout petit diablotin
Que je trouvais mignon,
Te regardant avec un air enfantin.

Mon premier compagnon de route,
Le premier que j'ai dompté,
M'accompagnant même dans la déroute.
Celle de mes premiers pas dans la Vallée.

Tu m'aidais à faire du dégât,
Contre les monstres que je tuais,
A coups d'éclairs de feu aux vifs reflets,
Tu m'assistais dans mes combats.

Ton pacte de sang est très utile aussi,
Cela augmente fortement ma vigueur
Et celle des membres de mes groupes d'amis.
En cela tu affirme ton utilité et ta valeur.

Tu peux changer de phase par un sort ardu,
Te faisant placer à cheval facilement
Entre ta dimension, le néant distordu
Et la nôtre, celle des deux continents.

En instances, tes pouvoirs font merveilles,
Ils sont très demandés par les vieux de la vieille,
Tu n'attaques pas, c'est trop risqué pour ta vie,
Mais ton Pacte de sang tous nous endurcit.

Dans les duels tu es un compagnon efficace.
Mes adversaires s'en prennent plein la tête,
Et la vitesse de ton incantation vivace,
Ralentit les meilleurs casteurs, c'est la fête !

Chaque fois que je t'invoque,
Je repense encore à mes premiers pas
Mes erreurs de tactiques à l'époque,
Etaient dignes des débutants les plus maladroits.

Aujourd'hui tu es devenu un puissant démon,
Tu es resté tout petit physiquement,
Mais tes pouvoirs ont grandi jusqu'à la déraison.
Comme celle d'un démoniste devenu pédant.

Suffisant dans son comportement,
Arrogant dans ses pouvoirs à sa façon,
Mais grâce à toi, mon petit Paguri dément,
Je suis ramené à la nécessité de ton invocation.

Sans toi il me manque quelque chose,
Mon fidèle compagnon qui atténue ma sinistrose,
Je te trouve décidément un compagnon
Toujours aussi attachant et mignon.

 

Poster un commentaire - Commentaires (0)
Créé le 14/02/2009 à 11:53:39 - Pas de modification

Fresque de destinées épiques


Deux camps perpétuellement opposés,
Deux factions rivales qui se sont détestées.
Composés de plusieurs races alliées.
Pour s'unir les unes contre les autres et batailler.

De l'Alliance, celle formée
D'armées d'Humains, et de Nains,
De Gnomes et d'Elfes révérés.
Tous ceux-là allaient pactiser.

Qui sont arrivés et ont foulés le sol les premiers
Sur ce premier monde appelé Kalimdor,
La Terre de l'éternelle lumière des étoiles ainsi nommée?
Cette question ne laissent toujours pas les gens d'accord.

Ce furent les Elfes de la nuit?
Ceux qui se prénommèrent Kaldoreï.
Ou ce furent les Trolls, en encore d'autres entités?
Nul ne pourrait à ce jour le jurer sans se tromper.

Puis vint la Guerre des Anciens,
Où les Elfes durent lutter,
Pour repousser les hordes de Sargeras le malin.
Le résultat fut la destruction du Puit d'éternité.

Puis vinrent les guerres trolles,
Où les humains et les Elfes de la nuit,
Firent des alliances folles,
Pour repousser les tribus Zandalari.

Les Nains furent découverts un matin,
Les trois royaumes prospères aux trois marteaux,
Et ils s'allièrent aux force des humains,
Bien que préférant l'or aux combats médiévaux.

L'Alliance, représentée principalement par Lothar l'humain,
Et pour les Orcs par Orgrim Marteau du destin,
Leurs nombreuses batailles épiques furent gravées,
Dans les livres et les sillons de terre du sang versé.

Pendant ce temps, du côté de la Horde,
des forces éparses furent rassemblées,
Par le seigneur Thrall après son exode.
Chef de la race Orc et grand guerrier.

Ces Orcs à l'histoire tragique et mouvementée,
Qui au départ n'étaient que paisibles chamans en Outreterre,
Une contrée au-delà de notre petit univers.
Et dont la corruption allaient les tourmenter.

Ils furent manipulés par les forces
De la terrible Légion ardente,
Pour envahir Azeroth et Kalimdor.
Leurs armées en fureur firent épouvante.

En empruntant la Porte des ténèbres,
Pont entre l'antique Draenor et Azeroth,
Les terres des hommes tremblèrent
Jusqu'à son explosion, bien qu'ayant pris beaucoup de vies en dot.

Des Taurens, en accord paisible avec la nature,
Furent conquis par la proposition de Thrall,
De s'unir pour protéger leur aimée verdure.
Voilà cette race mi-homme mi-animale.

Les Trolls rejoignirent aussi le camp des enragés
Pour marquer leur opposition aux Elfes de la nuit,
Leurs ennemis depuis des éternités,
Bien que selon certains issus de la même source de vie.

Quants aux inquiétants et funestes Morts-vivants,
Ces réprouvés de la Lordaeron souillée,
Sous l'emprise du Roi-Liche s'étendant,
Mais dont Arthas allait tenter de les sauver.

A ce jour, les quatre races de chaque faction sur le qui-vive,
Perpétuent leur rancoeurs et guerres passées.
Mais il semblerait qu'un certain prophète appelé Med'hiv,
Parvienne à unifier ces deux camps ennemis de toute éternité.

Dans le but de lutter contre une menace commune,
Celle d'Archimonde, avide de s'emparer du Puits d'éternité,
Pour en absorber avidement l'énergie et la Fortune.
Quel sera l'avenir, de cette histoire vaste, riche et mouvementée?

 

Poster un commentaire - Commentaires (0)
Créé le 14/02/2009 à 11:55:07 - Pas de modification
Pages: 1