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Douleur... Les yeux fermés Selsynn ne pouvait rien faire. Elle avait mal à chaque parcelle de son corps... Son corps qui vivait !
Quelques instants où les blessures internes se déchiraient, elle aurait préférée mille fois la mort.
Mais la Mort ne vient pas. L'Ankou devait avoir d'autres âmes à faucher...
Selsynn n'avait pas le temps de s'ennuyer, elle était comme... abrutie. Abrutie de douleurs, abrutie avec les substances qu'elle avait ingurgitées. Un peu effrayée d'être passée si près de la mort aussi. Elle n'avait pas le temps de s'ennuyer aussi car elle avait perdue la notion du temps. Rien ne venait perturber le lent combat qui s'était déclarer dans tous son être. Rien, ni même un rayon de soleil, ni même le chant d'un oiseau.
Elle était prisonnière de son corps, prisonnière de ses rêves inachevées, de ses espoirs, mais de ses peurs aussi...
Elle n'entendit pas la femme parler... Elle ne sentit pas les breuvages, bien qu'elle devina que la femme s'occupait d'elle...
Les seules informations qui parvenait à son cerveau était "douleur"... Douleur... Douleur... Combat contre la mort... Combat... Perte...
Elle était un immense champs de bataille au dessus duquel tournoyait ses pires ennemis, ses peurs, tels des vautours...
Et tels de vautours apercevant un mort, elles plongèrent vers elle.
Avant qu'elle n'ait repris conscience du temps, elle était parti en ... "voyage intérieur"...
Pendant que son corps se remettait, entre le mains de la femme, son esprit s'éparpillait devant les attaques de ses peurs...
Et ses peurs gagnaient chaque seconde d'éternité un peu d'avance...
Quelques instants où les blessures internes se déchiraient, elle aurait préférée mille fois la mort.
Mais la Mort ne vient pas. L'Ankou devait avoir d'autres âmes à faucher...
Selsynn n'avait pas le temps de s'ennuyer, elle était comme... abrutie. Abrutie de douleurs, abrutie avec les substances qu'elle avait ingurgitées. Un peu effrayée d'être passée si près de la mort aussi. Elle n'avait pas le temps de s'ennuyer aussi car elle avait perdue la notion du temps. Rien ne venait perturber le lent combat qui s'était déclarer dans tous son être. Rien, ni même un rayon de soleil, ni même le chant d'un oiseau.
Elle était prisonnière de son corps, prisonnière de ses rêves inachevées, de ses espoirs, mais de ses peurs aussi...
Elle n'entendit pas la femme parler... Elle ne sentit pas les breuvages, bien qu'elle devina que la femme s'occupait d'elle...
Les seules informations qui parvenait à son cerveau était "douleur"... Douleur... Douleur... Combat contre la mort... Combat... Perte...
Elle était un immense champs de bataille au dessus duquel tournoyait ses pires ennemis, ses peurs, tels des vautours...
Et tels de vautours apercevant un mort, elles plongèrent vers elle.
Avant qu'elle n'ait repris conscience du temps, elle était parti en ... "voyage intérieur"...
Pendant que son corps se remettait, entre le mains de la femme, son esprit s'éparpillait devant les attaques de ses peurs...
Et ses peurs gagnaient chaque seconde d'éternité un peu d'avance...
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