Iric Lorthuen
Race: Humain
Classe: Paladin
Guilde: Aube Mythique
Niveau: 77
Serveur: Culte de la Rive Noire
Jeu: World of Warcraft
Etat: Actif
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Alors que l'ombre m'embaumait de son voile charmeur, la lumière disparaissait petit à petit, me laissant à mon sort de paladin déchu.

J'avais abandonné tout le monde pour tenter de remettre de l'ordre dans mes affaires et cela me conduisait à la mort.

Oui, des mois s'étaient écoulés, et une flamme se raviva dans ce cœur glacé, un besoin nécessaire, de revoir ses anciens amis et ses confrères d'armes. Je me sentais plus que seul et les choix que j'avais fait avaient été appliqués trop vite, sans avoir pris le temps d'analyser réellement les problèmes.

Une voie chantonnait et m'appelait. Devais-je l'écouter ou plutôt continuer à rester cloîtrer dans mon monde ?

C'était une déesse qui me pris la main et me réconforta, me traînant doucement et me réconfortant de sa voix mielleuse. Je réalisais enfin que l'ombre qui m'entourerait n'était que le reflet de mon âme intérieur et que la lumière ne m'avait pas abandonné, je l'avais obstrué... Cette déesse était simplement la représentation l'essence de la Lumière que j'avais accueillis en moi des années plus tôt.

Plus j'avançais, et plus mes forces me revenaient, ainsi que mon envie de vivre ! Mon envie de combattre ! Et mon envie de rigoler autour d'un bon feu, de partager des moments intenses entre frères.
Oui, il était plus que temps que je revienne !

J'émergeais enfin de mon isolement et j'aurais pu soulever des montagnes. Et sur un air de défi, les premiers mots, qui s'étaient efforcés à modifier mon jugement (ma vie même !) furent prononcés pour sonner la fin d'une époque : "Je suis de retour ! "


Chapitre 1 : Sur les traces de l'ancien ordre sacré : l'Ordre de la Main d'Argent

Depuis mon retour dans le monde des vivants, des questions ne cessent de me perturber. Des événements qui se sont déroulés dans mon passé me reviennent pas image lors de mes sommeils. Je ne sais pas si elles appartiennent vraiment à mon passé où si elles sont le fait de mon imagination mais je suis convaincu qu'elles sont vraies.
Je me vois auprès du Roi des Nains, qui me supplie de l'aider ; puis un groupe de mage invoquant un sortilège près de la porte des ténèbres, regroupés en cercle où je suis au centre ; des démons qui détruisent le monde, mettant à feu et à sang les villes les plus proches.
Soudain, je ne me sens plus comme avant, je me sens différent, comme dans une autre réalité. Je me lève et ouvre les yeux et observe la porte des ténèbres. Elle luit d'une couleur bleu, différente de sa couleur verte quelques instants plus tôt. Une autre image, des soldats des différents factions Humaine, Naine, Orc viennent se rassembler à la porte, défendre le monde.
Je me souviens du sortilège désormais... M'envoyer dans le passé changer le futur... Oui j'ai réussi...

Je me réveille en sursaut ! Quelqu'un frappe à la porte. La nuit n'a pas été facile et il va falloir que je vaque à mes différentes occupations : répondre aux lettres que j'ai reçu, redevenir un soldat actif... Je descendais les escaliers très maladroitement, faillissant m'écrouler plusieurs fois, à cause de mon esprit encore embrumé.

La porte. Je l'ouvre mais personne de l'autre côté. Mais je sens quelque chose de différent que d'habitude sur mon palier, quelque chose de.... Saint ! Je baisse les yeux et trouve un manuscrit, un livre qui semble avoir résister au temps et qui semble encore en bonne état. Je le prend et ferme la porte. Les vibrations que je ressens et l'écho qui me parvient de ce livre est fantastique. Pourtant je sais que je suis le seul à pouvoir ressentir ces choses là. Je souffle sur la couverture mais le titre semble avoir disparu avec le temps. Alors j'ouvre délicatement le livre, et je découvre l'entête du livre : Fondations et bases de l'Ordre de la Main d'Argent, par Uther, le Porteur de Lumière...


Une semaine était passé depuis que j'avais récupéré le livre sur le seuil de ma porte. Ma vie avait beaucoup évoluée et la vie au sein de la Garde de la Nuit me satisfaisait. Entente cordiale, expédition quotidienne au sein des forces du mal, qui tenter de rompre l'équilibre tant en Azeroth qu'en Outreterre. Un évènement majeur et triste survint toutefois. Un billet m'avait été laissé dans un des tiroirs de mon bureau. J'y avais découvert que un de mes confrères, Karazlin avait disparu et il avait été porté disparu, même selon des sources, aurait été assassiné. Un enterrement avait eu lieu à Forgefer en son honneur et je n'avais pu m'y rendre, car j'eus le billet bien trop tard. Ça avait été un ami, un très bon ami, bien qu'il avait changé depuis quelques temps, sombrant dans les ténèbres (désormais j'avais enfin réalisé pourquoi il était ainsi depuis que j'avais reflué les ombres en moi).

Ma recherche en quête du Salut continua et je me rendis plus d'une fois sur le tombe d'Uther aux Maleterres de l'Ouest. Un draenei restait souvent près de cette tombe, par respect pour le défunt et en quête de sa grandeur passé. Nous discutâmes plus d'une fois sur Uther et j'en appris beaucoup sur son passé. Je fus étonné qu'un être étranger à notre planète en connaissant plus que moi, et que n'importe quel autre sur ce personnage mythique !

En tout cas, l'ordre mort il y a longtemps renaissait de ses cendres dans l'esprit de nombreux adepte de la Lumière ce qui me réjouissait. Un jour, peut être, cet ordre revivra et nous pourrons combattre contre les usurpateurs et les démons qui hantent nos pays !

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Créé le 19/03/2009 à 15:38:35 - Pas de modification

Brandissant la masse en l'air, je demandais clémence, par la Lumière, de m'accorder, en ce lieu de pureté, toute la lucidité nécessaire à ma méditation. Je venais de mettre genou à terre devant la statue d'Uther, le maître de la Main d'Argent, le Porteur de Lumière, et le martyre de la guerre du Fléau

Je venais pratiquement une fois par semaine, depuis que j'avais décidé de méditer plus profondément sur la raison de mon existence et sur ma destiné de Paladin, en quittant particulièrement la Garde de la Nuit.

Chaque fois que je venais, je tentais de rétablir en ce lieu la paix, en terrassant les restes de non-vivants qui revenaient hanter le cimetière, ou des fois, en terrassant des membres de la Horde, particulièrement trop bête pour comprendre, Ô combien ce lieu était important, en venant le dégrader.

Ma vision du monde avait quelque peu changé depuis que j'avais quitté la Garde.

Je ne me battais plus seulement à ma propre fin, mais aussi pour rétablir l'équilibre de paix qui exister autrefois, lorsque la Main d'Argent existait encore et parcourait le monde entier, sauvant la veuve et l'orphelin, apportant les besoins matériels et physiques et en luttant contre le crime.

Aujourd'hui, cet ordre avait disparu, emporté avec son fondateur dans la mort, mais le souvenir de cet ordre avait marqué l'esprit de nombreuses personnes dans ce monde, et je sentais, un devoir envers moi même mais aussi envers l'Humanité, que je devais suivre leur trace, et continuer ce que cet ordre avait construit.

Ainsi, je parcourais le monde, dans le but de sauver la veuve et l'orphelin, terrassant les membres de la Horde qui terrorisaient les contrées de l'Alliance, ravageant les camps de pirates et de mercenaires, et en apportant le soutien aux divers groupes souhaitant le rétablissement de la paix dans le monde et l'équilibre, comme le Cercle Cénarien, ou encore l'Aube d'Argent...

Mais depuis quelques jours, un mal est revenu hanté nos terres, un mal si profond et si mauvais que même la Terre elle-même s'en est révulsé. La Lumière elle-même en fut troublé. Le Fléau était de retour, et leur vitesse à se propager rendait tout combat inutile, lorsqu'on les affrontait seul.

C'est ainsi, qu'en ce jour, j'ai rejoint, de nouveau, les rangs de la Garde de la Nuit. Les membres se levaient sans haut le cœur, affrontant milles dangers, avec des fois une certaines témérité, pour répandre la paix en ces terres. Bien que je n'acceptais pas toutes leurs croyances, leur mouvement était bon.

 

Me relevant de la statue, ma méditation finit, je tournai les yeux vers les Maleterres de l'Est, où j'entendai rugir les abominations du Fléau, et le fracassement des armes qui n'attendaient que moi.

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Créé le 19/03/2009 à 15:39:17 - Modifié le 19/03/2009 à 16:44:15
Jambes croisées, entendant seulement le souffle du vent, caressant mon armure et ébouriffant mes cheveux, je méditais, comme à mon habitude sur la tombe d'Uther.

La journée semblait bien calme, comme chaque jour. L'atroce bruit avait cessé dès que tous les morts-vivants rodant autour de la tombe furent éliminés dans un torrent purificateur.

Mes méditations étaient de plus en plus perturbés par des esprit vengeurs, et plus encore par ce qui se tramait au Nord d'Azeroth, en Norfendre. Mon esprit résistait tant bien que mal à ces esprits mais le mal qui venait de là haut s'insinuait en moi tenter de me corrompre.
Rompant immédiatement ma méditation, j'ouvris les yeux sur la statue. Qu'était-ce ces magies ? Que pouvaient telles bien signifier ? Ce lieu était-il entrain de corrompre ceux qui le parcourait ?

Regardant le prêtre elfe méditer à son tour, suant, je ne pus m'empêcher de penser que les Maleterres de l'Ouest commencer à modifier l'instinct de survie de ce qui s'y reposer.

Ma soif de vengeance ne cessait de croître, et mon idéal autour de la Main d'Argent ne cessait de se renforcer. Ne serait-ce finalement qu'un leurre ? Une fourberie du Roi Liche ?
Quoi qu'il en soit, je devais quitter ces lieux et enquêter au plus vite. Mon esprit était corrompu et je ne savais plus ce que je devais croire comme acquis...
Non, c'était impossible, je ne pouvais pas être corrompu, la Lumière me protègerais, j'en suis certains, à part si je portais un objet corrompu en soi-même sur moi, ce qui n'était pas le cas.
Je pouvais simplement penser que ce sentiment était passager. Il me faudra patienter avant de retourner en ces terres, mais pour l'instant, je patienterais à Hurlevent, jusqu'à ce que les bateaux soient prêts à partir.

Me levant, je quittais au plus vite ce lieu et ces terres...
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Créé le 19/03/2009 à 15:39:50 - Modifié le 19/03/2009 à 15:40:08
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