Azrahen
Race: Elfe de sang
Classe: D?moniste
Guilde: Le Trident du Fou
Niveau: 85
Serveur: Culte de la Rive Noire
Jeu: World of Warcraft
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Le Cristal Chantant 
Chapitre 65 - La Mort vient des Profondeurs 

Après maintes discussions inutiles, Volhkar avait réussi à convaincre les autres de partir pour trouver une relique dont il ne savait quasiment rien: seulement le lieu et le pouvoir car celui qui la détient s'octroiera d'un pouvoir immense capable de rivaliser avec la coiffeuse d'Arthas en personne, selon un worgen à moitié schizophrénique.

Ludwin: Gul'dan mes frères !
Volhkar: De quoi encore?!
Ludwin: J'ai eu une vision !
Volhkar: Ça y est, ça recommence.
Ludwin: Quelque chose repousse la lumière ici !
Volhkar: Si j'en crois la carte...
Luvenis: Quelle carte?
Volhkar: La...euh...La carte du Norfendre que m'a donné la Dame. Si je la lis bien, il se trouve qu'ici même, à quelques pas à l'est, se trouve une entrée.
Luvenis: Je ne vois rien...
Volhkar: Oh regardez ! *désigne un rocher*
Luvenis: C'est un gros caillou.
Volhkar: Sotte ! Surement qu'il cache le fameux passage vers la victoire ! Aidez-moi à le pousser !
Ludwin: Oui monseigneur. 
Luvenis: Ça ne sert à rien, il est beaucoup trop lourd.
Volhkar: Sers à quelque chose pour une fois !
Luvenis: Et s'il n'y a rien dessous?
Volhkar: On ne peut pas en être sûrs tant qu'on a pas vérifié !
Luvenis: Mais c'est absurde ! Il a autant de chance d'être sous ce gros rocher que sous cette étrange feuille géante posée ici, et pourtant ! *soulève la feuille* C'est bien moins lourd !
Volhkar: *a une expression joviale* Regardez !! Le passage ! Il est là !
Luvenis: Ahin, très marrant ! *regarde l'endroit où était posé la feuille et remarque un trou assez grand pour y entrer un par un* Oh...

Ils avaient fini par arriver devant l'entrée d'une excavation souterraine surement là depuis très longtemps, cachée à l'aide d'une feuille n'allant pas du tout avec l'environnement avoisinant. Il descendirent par un long tunnel sombre , sans lumière cette fois-ci. Une matière collante recouvrait les parois et par moment, les bruits de pas se mêlèrent à un craquement désagréable...

Volhkar: Ok. Ça fait dix minutes qu'on marche tout droit vers on ne sait trop où tout en écrasant ce qui pourrait s'apparenter à des petites souris. Pouvez-vous éclairer le passage?
Ludwin: Tout de suite ! *lance un sort du sacré qui illumine l'étroit tunnel*
Volhkar: Oh seigneur ! *ramasse un os* Qu'est-ce que j'ai perdu encore ?!
Luvenis: Ce ne sont pas les tiens...On marche depuis tout à l'heure sur des ossements !
Volhkar: Je préférais les petites souris...
Luvenis: Et le plus horrible dans tout ça, c'est je suis certaine qu'ils appartenaient à des vivants !
Volhkar: *se passe la main sur la figure
Ludwin: Chut ! J'entends quelque chose.
Des paroles très peu audibles semblent provenir du fond du tunnel.
Volhkar: Allons-y !
Luvenis: Stop !
Volhkar: Quoi?!
Luvenis: On emprunte un passage gardé par une feuille, dedans il y a des ossements et des toiles partout sur les murs et là tout à coup on s'aperçoit que ce fameux tunnel est habité...Et vous vous voudriez allez voir qui pourrait se loger ici?
Volhkar: Surement pas des elfes, ce qui retire un point de la liste des races indésirables présentes en Azeroth.
Luvenis: Même les réprouvés ne sauraient vivre ici.
Volhkar: C'est mort, c'est sombre, c'est étroit et c'est sale. Tout comme Fossoyeuse !
Luvenis: C'est pas pareil.
Volhkar: De toute façon je m'en fiche, nous avons besoin de ce qui se cache ici.
Luvenis: Ce n'est surement pas des alliés...
Volhkar: D'une certaine façon, si.
Ludwin: La ferme démoniste et écoutes notre commandant.
Luvenis: Mais...
Volhkar: Merci paladin fayot. En avant !

Ils traversèrent plusieurs cloisons entoilées, la tonalité des bruits s'accentuait à chaque pas jusqu'à ce que...

Volhkar: Regardez ça !

Ils trouvèrent l'antre des terribles nérubiens. Ces derniers semblaient se divertir en faisant claquer leur pattes griffues sur le sol, comme un genre de danse...

Volhkar: Ils ont du rythme !
Ludwin: Je suis bien meilleur qu'eux.
Luvenis: On n'en doute pas...C'est ça vos créatures d'épouvante?
Volhkar: Ils ne nous ont pas repérés. Profitons-en pour avancer.
Une présence se fait ressentir derrière eux.
Ludwin: Attention !
Nérubien: Ah Tatata ! Ah Tatatatatata ta ! Aaah Ta ! (Sauvez-moi, Carabosse nous a maudis et toute notre colonie est devenue conne.)
Volhkar: Diantre ! Que faire?!
Nérubien: Aaaaaaah Ta tatatata tatata ! (Par pitié ! je vous paierai, j'ai de l'argent !)
Volhkar: Il va prévenir les autres !
Nérubien: Tatata Ah aaaah Tatata ! (Je suis un prince prisonnier de cette enveloppe d'insecte, aidez-moi ! )
Volhkar: Hors de ma vue créature repoussante ! *donne des coups d'os sur la tête du nérubien*
Nérubien: Ah tatatata Ah ah aaaaaaaah ! (Non, attendez ! Aaaaaaaah ! )
Ludwin: Arrière ! Arrière ! *imprègne son épée de puissance sacrée*
Nérubien: *retourne dans un trou et s'enfuit*
Ludwin: Pff ! Même pas le courage pour venir se battre !
Volhkar: Ouh, j'ai jamais eu aussi peur de ma non-vie !
Luvenis: Et on dit qu'il a plus peur de nous que nous de lui, foutaise !
Volhkar: Bon, l'éclaireur est parti et nous ne pourrons pas non plus le rattraper, vous savez ce qu'il nous reste à faire...
Ludwin: Oui, c'est une évidence...
Volhkar: Buttons ces sales enfoirés dégoutants !

Ils pénétrèrent dans l'antre des nérubiens joueurs de claquettes et les décimèrent, un par un. On pouvait entendre leur cri depuis l'extérieur du tunnel... "Aah Tatatata Tatata Ta Aaaah ! ".

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Créé le 23/05/2010 à 12:35:04 - Pas de modification

Le Cristal Chantant 
Chapitre 66 - L'Oeil de Kukuch'Raboum 

Après avoir sévèrement rossée la colonie de nérubiens, le petit groupe continua son chemin parmi les tunnels tortueux composant toute une galerie de type fourmilière mort-vivante. Il trouva après plusieurs minutes à dégager le passage des nombreuses toiles de toutes les couleurs une porte, des bruits venaient de derrière celle-ci, ainsi que de la lumière...

Volhkar: Regardez ! Il y a une forte probabilité pour que quelque chose éclaire.
Luvenis: Il y a une pancarte ici..."Chez Renée".
Volhkar: Qu'est-ce que cela peut-il bien vouloir dire?
Luvenis: Je n'en sais rien, mais apparemment quelqu'un habite ici.
Volhkar: Et Renée, est-il un homme, est-il une femme?
Ludwin: Est-il humain?
Volhkar: Imbécile bipède ! Bien sur que c'est humain Renée !
Luvenis: Que fait-on?
Volhkar: Impossible de reculer maintenant.
Luvenis: Bien sur que si c'est encore possible !
Volhkar: Non, pas envie de me repayer autant de marche, le retour n'est plus envisageable.
Luvenis: Que va t-on faire alors?!
Volhkar: Nous allons entrer de façon amicale...*appuie sur un bouton à coté de la porte*
"Titili ding ding, Titili ding ding, ding ti ding ti, ding ding dong"
Luvenis: Je persiste à croire que ce qui vit à l'intérieur n'a pas toute sa tête.
Des bruits de pas se font entendre, ils se rapprochent de la porte...
???: Qui c'est...?
Volhkar: Le facteur.
???: Ah ! Je vous attendais.
La porte s'ouvre.
Volhkar: *entre sans attendre et remarque la présence derrière lui* Qui êtes-vous?!
Renée: Je suis Renée, vous n'avez pas lu sur la porte? Mais vous n'êtes pas le facteur?
Volhkar: Oui mais qui êtes-vous?
Renée: Un oracle. C'est une très longue histoire, mais asseyez...
Volhkar: Non en fait on s'en fiche.
Renée: *s'assoit quand même à une chaise* Oh...
Volhkar: Ce que je veux savoir, c'est où se trouve l'objet de ma convoitise?
Ludwin: *chuchote à Luvenis* Elle a l'air humaine.
Renée: Ce que tu cherche se trouve quelque part dans ces galeries, mais tu ne sais pas où.
Volhkar: Mais encore?
Renée: Il est possible d'après le calendrier astro-lunaire des deux soleils d'Outreterre du dernier mois lorsque l'hémisphère ouest et est sont opposées par la radiance égale à pi au carré multipliée par trois à laquelle on rajoute deux, que l'objet soit plus près de vous que vous ne le pensait.
Ludwin: *chuchote à Luvenis* Tout bien réfléchi, je commence à avoir des doutes.
Volhkar: C'est quoi ce charabia?!
Renée: Je dis simplement que vous devriez anerva moktnahd grebour makde bregf. Et vous l'aurez ensuite.
Volhkar: . . .
Renée: Bon très bien, il est derrière vous sur le bureau.
Volhkar: C'est mieux. *examine le meuble* Euh...
Renée: Hum?
Volhkar: *prend un objet au hasard*
Renée: Voila.
Volhkar: Ça ne fait rien ce truc !
Renée: . . .
Volhkar: Vile catin masquée. Ce n'est pas ça que je cherche. Ce que je veux, vous êtes assise dessus !
Renée: Non ! Ne me volez pas ma chaise porte-bonheur !
Volhkar: Dégagez de là ! *pousse la femme, qui tombe au sol*
Renée: Non par pitié !
Volhkar: *prend un bras de la chaise*
Renée: Ne lui faites pas de mal ! Ce que vous désirez se trouve là, je vais vous le donner ! *sort un étrange objet de sa poche*
Volhkar: Ah il était temps ! *prend l'objet et l'examine*
Renée: JAAMAIS ! *saute sur le réprouvé*
Ludwin: Monseigneur ! *dans un réflexe défensif, il abat la vicieuse d'un coup d'épée*
Volhkar: *regarde la femme à terre, puis l'objet* Hum? Ce n'est qu'un fusible?!
Ludwin: Un fusible qui mérite que l'on meurt pour lui.
Volhkar: Je sais pas si t'avais remarqué que Renée était complètement timbrée.
Luvenis: Attention !
La femme se releva en lévitant, comme poussée par une énergie mystique, ses yeux noirs regardèrent Volhkar, puis les autres avec une expression de dégout.
Renée: Infidèles ! Je suis un agent de la terrible Carabosse, vous avez peut-être réussi à trouver l'Oeil de 
Kukuch'Raboum, donnant à son porteur un pouvoir incommensurable, mais jamais sa puissance ne vous appartiendra.
Volhkar: Je prends note. Merci de ce présent, sorcière. *sort de la petite cabane souterraine en sautillant*
Renée: Non ! Ne me laissez pas comme ça ! *est penché vers l'avant, toujours en lévitant*
Ludwin: On va...suivre Volhkar. Portez-vous bien ! *se sauve, devancé par Luvenis*

Ludwin et Luvenis parvinrent à rattraper Volhkar à la sortie. Le vieux réprouvé contemplait sa trouvaille avec avidité, avec une lueur d'incompréhension sur le visage...

Volhkar: Comment ça marche?
Luvenis: Alors c'était donc ça?!
Volhkar: De quoi?
Luvenis: Ce n'était pas des alliés qu'on est venu chercher ! Ce n'était qu'un bout de féraille ! On a risqué nos vies pour cette camelote !
Volhkar: Cette chose est capable de nous faire gagner !
Luvenis: Et tu va croire tout ce que te racontes une vieille folle vivant dans une galerie nérubienne?!
Volhkar: Il n'y a pas qu'elle qui l'a dit...Hier, j'ai reçu une visite, celle-là même qui m'a donné ce parchemin où était dessinée cette carte.
Luvenis: Qui est-ce?
Volhkar: Il s'est mangé le sol et j'ai pu voir son visage, c'était un worgen. Je l'avais déjà vu mais je suis incapable de me rappeler où...Il s'est changé en loup et a filé...
Luvenis: Les worgens se battent pour le Fléau ! 
Volhkar: Et alors? Penses-tu que tout ceci n'était qu'un hasard?
Ludwin: Fenrez, c'était surement lui.
Volhkar: Oui j'imagine. Sa voix était comme celle d'un humain...au début...
Ludwin: Il est le moins animal de la meute et n'a pas perdu toute son humanité. Mais ça n'en fait pas un allié pour autant.
Volhkar: Et toi l'humain?! Tu crois que je n'ai pas bien vu toutes tes petites chochoteries pour te rapprocher de moi? Tu es peut-être envoyé par l'Alliance dans le but de m'éliminer !
Ludwin: C'est ridicule ! Je suis un paladin de la Croisade d'Argent.
Volhkar: Un humain reste un humain.
Luvenis: Ne cherches pas à détourner la conversation ! Il t'as manipuler !
Volhkar: Non, car on a vaincu Renée.
Luvenis: Mais on s'en fiche de Renée !
Volhkar: Exact...
Luvenis: Fenrez voulait surement t'éloigner du campement.
Volhkar: Aucun problème ! Nous y retournons de ce pas ! Et puis, ce n'est pas comme si j'étais parti sans rien dire: j'ai laissé Lykaan au commandement.

Au campement de la Horde...

Officier Orc: Les grunts sont épuisés, ils ont combattus toute la journée. Il leur faut se reposer !
Officier Réprouvé: Les forestiers attendent l'autorisation pour lâcher les salves sur le Fléau !
Officier Troll: Quoi vous vouloiw? *se gratte la tête*
Lykaan: *est assis sur le trône, les bras tendus devant lui* Guh ! Faites- ce que vous voulez !
Officier Elfe: Nos arcanistes attendent les ordres, ils se touchent depuis le début de la bataille !
Lykaan: C'est parfait, qu'ils continuent !
Officier Draenei: Moi...*regarde les alentours* Je crois que je me suis trompé de campement...

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Créé le 23/05/2010 à 12:36:02 - Pas de modification

Le Cristal Chantant 
Chapitre 67 - Divination 

Non loin du campement de la Horde, dans une maison abandonnée...

Kraggen: Alors? Que vois-tu?!
Fenrez: Il n'y a rien. Je t'ai déjà tout dit.
Kraggen: Je veux que tu refasses ta magie pour me dire ce qui ne va pas ! C'est pas quelque chose de commun de voir son double fléautique trainer dans les ruelles !
Fenrez: J'ai besoin de matériel sophistiqué pour ce genre de...chose.
Kraggen: Alors va le chercher !
Fenrez: Je n'ai rien ici, tout se trouve dans mes appartements, dans la citadelle.
Kraggen: Parfait, on y va.
Fenrez: Je ne partirais pas sans mon patient.
Kraggen: Emmenons-le.
Fenrez: Je me fais vieux... *affiche un sourire malsain au paladin*
Kraggen: Très bien, je le porterais si ça peut m'aider à retrouver la chose qui a mon apparence.
Fenrez: Ravi que tu collabores.
Kraggen: Non, je ne collabore pas avec toi, je fais ça pour moi !
Fenrez: Comme tu l'entends. Partons vite d'ici, je ne voudrais pas faire de mauvaises rencontres sur le chemin...
Kraggen: Volhkar?
Fenrez: Il existe des monstres pires que Volhkar, bien pires...

Pendant ce temps, plus au nord...

Volhkar: *manipule le fusible avec peu de précaution* Comment on ouvre cette babiole?
Ludwin: Faites attention avec ça, vous pourriez vous blesser.
Volhkar: Je suis mort, qu'est-ce que ça peut bien me faire?!
Luvenis: Mort, mais pas silencieux.
Volhkar: Ah ! Nous voici enfin revenus à ce cher campement !

Le campement était en désordre complet: de nombreux officiers s'étaient rassemblés autour d'un feu de camp, en complotant vaguement sur les inaptitudes d'un certain "gras commandant poilu". Volhkar:, qui avait l'ouïe fine malgré son manque d'oreille, se dirigea d'un pas calme vers la tente de la direction, où dormait, sur son beau trône personnel, une grosse masse nommée...

Volhkar: Lykaan !
Lykaan: *sursaute* Hein euh oui quoi?!
Volhkar: Je t'ai demandé de veiller sur le campement, pas sur le trône.
Lykaan: Je suis désolé mais c'était tellement confortable...
Volhkar: Bon allez dégages de là.
Lykaan: Oui...*se presse de quitter le trône*
Volhkar: Alors? Comment a vécu le campement en mon absence?
Lykaan: Plutôt bien...*se racle la gorge*
Volhkar: Je vois, vous êtes incapable de diriger une armée et de donner simplement des ordres, même moi a mes cinq ans je donnais des ordres ! Mais qu'êtes-vous donc capable de faire?!
Lykaan: *d'un ton vexé* Je sais faire pousser les fleurs...
Volhkar: Ah c'est génial ça, on peut surement demander à Mère Nature d'élever un mur végétal pour bloquer nos ennemis.
Lykaan: Non, la Nature ne s'implique pas dans les guerres.
Volhkar: Alors elle ne sert à rien ! Dis-moi plutôt des bonnes nouvelles.
Lykaan: Je ne...
Volhkar: Dites-moi combien avons-nous perdu de troupes?
Lykaan: Environ 59%.
Volhkar: Ah...Et combien d'elfes de sang dans ce pourcentage accablant?
Lykaan: Zéro...
Volhkar: COMMENT?! Comment est-il possible que ces satanés cloportes soient dans leur totalité en vie?!!
Lykaan: Vous n'avez pas assigné d'ordre pour les régiments elfes.
Volhkar: Fallait les envoyer mourir !
Lykaan: Vous aviez dis qu'il faudrait les envoyer avec les régiments trolls seulement si le Fléau s'épuisait trop vite, et là, bin ils sont le double qu'au début...
Volhkar: Oh l'imbécile velu ! C'est une catastrophe ! Nous devons combattre le Fléau encore plus puissant qu'avant avec seulement des vieux schtroumpfs bancals et des petites mademoiselles imberbes !
Ludwin: Mais nous avons cette relique !
Volhkar: Je m'en tamponne de cette pseudo-relique ! *jette le fusible dans la tête du paladin*
Ludwin: *tombe à terre* Aie..aie aie...Je souffre...
Volhkar: *regarde le paladin avec un sourire au visage* C'est efficace ! Redonnez-le moi !
Ludwin: Tout de suite monseigneur ! *se relève et tend le fusible à son excellence* Merci pour cette correction, je l'avais mérité.
Volhkar: C'est ça ! *reprend son bien* J'ai une idée qui saurait nous éviter la défaite...
Ludwin: Qu'est-ce donc?
Volhkar: Sur la carte que m'a confiée le worgen, il est dessiné un chemin que je n'ai pas trouvé sur les autres cartes traditionnelles. Il passe par les montagnes centrales et nous permettra d'éviter l'armée du Fléau.
Ludwin: Là-bas, dans les montagnes centrales, se trouvent les vrykuls zombifiés et les golems du Fléau qui ne font que patrouiller.
Volhkar: Vous savez ce qu'on dit, plus on est proche de l'ennemi, plus on est en sécurité !
Luvenis: Alors on va fuir?
Volhkar: Non, mais non ! On va seulement prendre un autre chemin.
Lykaan: Mais que va t-on faire du campement?
Volhkar: Bon écoutez, moi je me casse ! Et si vous êtes- pas content, restez ici ! De toute façon avec cette relique, je suis pratiquement invincible !
Lykaan: Je préfère venir avec toi, j'ai l'impression que certains me veulent du mal ici...*regarde partout autour de lui nerveusement*
Volhkar: Mais non, être chef ça rend parfois paranoïaque !
Ludwin: Je vous suivrais toujours monseigneur !
Luvenis: Moi, je marche pas ! *croise les bras*
Volhkar: Il y aura surement Zylpher.
Luvenis: J'ai eu le temps de réfléchir, c'est d'accord !
Volhkar: Alors en route !
. . .
Officier Orc: *a une dague à la main* Je vais poignarder ce commandant incompétent !
Officier Réprouvé: Je poserais des explosifs à la base de son trône, il verra ce bout de viande !
Officier Tauren: Moi je l'aime bien... Il me rappelle Cairne.

Kraggen et Fenrez transportèrent Zylpher à la citadelle de glace. Du fait de la bataille, elle était relativement vide, ce qui permis au worgen de passer en toute discrétion le démoniste jusqu'à ses appartements...

Fenrez: *finit d'attacher Zylpher* Voila, il ne pourra rien faire.
Kraggen: Bien..
Fenrez: Hem...Suis-moi...

Il conduisit Kraggen à son laboratoire, au sous-sol.

Fenrez: C'est risqué. Je tiens à te prévenir qu'en poussant en maximum la puissance totémique, il y a des risques élevés.
Kraggen: Je risque quoi par exemple?
Fenrez: Eh bien, tu peux te prendre pour un murloc et sautiller partout en poussant des cris.
Kraggen: *ravale sa salive*
Fenrez: Prends place et commençons.
Kraggen: *s'assit par terre*
Fenrez: *parle dans une langue étrange, des esprits élémentaires apparaissent autour de lui*

Ainsi débuta une longue conversation entre le chaman et ses invocations, quelques minutes passèrent quand ces derniers disparurent enfin, laissant le laboratoire paisible...

Kraggen: Qu'as-tu vu?
Fenrez: J'ai vu le passé, le présent, et l'avenir.
Kraggen: Et alors?
Fenrez: Les trois amènent à un même chemin, la vision était claire cette fois-ci.
Kraggen: *se lève* Qu'est-ce que c'était?!
Fenrez: La mort.
Kraggen: La mort?! Pour lui?!
Fenrez: Il est toi, vous êtes la même personne, vous ne devez pas vous entretuer mais vous y êtes contraints.
Kraggen: Tu sais ce que j'en pense?
Fenrez: Oui, je l'ai lu aussi.
Kraggen: Pfff ! Si t'avais pas tout foiré quand tu as voulu me faire revenir d'entre les morts, tout ceci ne se serait pas produit !
Fenrez: Je n'ai fait qu'obéir à Maitresse Nataara, on ne peut pas me blâmer pour ça.
Kraggen: Ouais, faut que je lui en touche deux mots à celle-là !
Fenrez: Faites attention à vous, Kraggen. la route est étroite.
Kraggen: *part sans se soucier des recommandations du worgen, mais tombe dans les escaliers*
Fenrez: Je l'avais prévenu pourtant...*secoue la tête*

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Créé le 23/05/2010 à 12:37:12 - Pas de modification

Le Cristal Chantant 
Chapitre 68 - Dépendance 

Après le rituel élémentaire, Fenrez rangea le désordre dans le laboratoire avant de remonter dans ses appartements. Il vit avec un certain soulagement que Zylpher était encore là, forcément puisque les liens qu'avaient mis Fenrez étaient spécialement conçus pour résister à toute forme de magie. Les yeux de l'elfe et ceux du worgen se croisèrent l'espace de quelques secondes, puis Fenrez reprit:

Fenrez: Tu as de la chance aujourd'hui elfe. Je te retrouve blessé et alors que j'aurai pu te laisser mourir, je te sauve de bonne grâce.
Zylpher: Je ne me laisserai pas faire.
Fenrez: Ce n'est pas comme si tu avais le choix. *examine la blessure* C'est une belle plaie que tu as là, dis moi, qui as bien pu te faire ça?
Zylpher: Ton chef, Kruhorn.
Fenrez: Kru...*ses yeux prennent une expression horrifiée* Je n'aurai jamais dû te ramener ici.
Zylpher: *ricane* C'est trop tard maintenant.
Fenrez: Silence avorton ! *frappe le démoniste au visage*
Zylpher: Il arrive, je le sens.
Fenrez: *recule de plusieurs pas* Je te conseille de ne pas faire quoi que ce soit qui puisse révéler ta présence ici, elfe.
Zylpher: Je n'ai plus rien à perdre.
Fenrez: Bien au contraire.

Un hurlement retentit dans toute la citadelle, la porte principale claqua brutalement. Fenrez, dans un geste paniqué, poussa la table où était allongé l'elfe contre le mur en posant un fin voile sur lui. Il alluma plusieurs batonnets d'encens qu'il placa partout dans la petite pièce. Et il resta là, attendant nerveusement l'arrivée de Kruhorn qui, malgré sa colère apparente, ouvrit la porte avec lenteur.

Fenrez: [Worgen] Maitre Kruhorn. *salue le worgen avec respect*
Kruhorn: [Worgen] Ou est-il?!
Fenrez: Qui cherchez-vous?
Kruhorn: [Worgen] Ce satané démoniste, j'ai senti son odeur jusqu'ici. Il est ici !
Fenrez: De, que quoi?!
Kruhorn: [Worgen] Il est dans la citadelle.
Fenrez: Zylpher?! Je ne l'ai pas vu, imaginez bien que je n'aurai rien pu faire contre lui si tel avait été le cas.
Kruhorn: [Worgen] Je l'ai blessé, mais je n'ai pas eu le temps de finir le travail. Jamais je ne me ferai ridiculiser par une si frêle créature ! Et cette odeur !
Fenrez: Ou..oui? *commence à paniquer*
Kruhorn: [Worgen] Comment peux-tu vivre avec une telle odeur?! Ça me répugne !
Fenrez: Navré, j'en mettrai moins à l'avenir.
Kruhorn: [Worgen] je retrouverai cet elfe, et je dévorerai ses entrailles.
Fenrez: Permettez-moi de vous aider. 
Kruhorn: [Worgen] Je n'ai pas besoin de toi ! *s'en va d'un pas lourd*
. . .
Fenrez: C'est bon, il est parti...*se rapproche de Zylpher et enlève le tissu*
Zylpher: Ah quoi ça t'as servi de me protéger?
Fenrez: Encore erreur. C'est à moi que j'ai épargné un châtiment douloureux. Je me fiche complètement de ce qui peut t'arriver, tu n'es que de la chair. *pince la peau de l'elfe au niveau de la plaie*
Zylpher: *se retient de toute action*
Fenrez: Hum, mais j'ai toujours trouvé la race des elfes de sang intéressante. D'après-toi, quand penses-tu qu'un elfe de sang devient ce que vous appelez un déshérité? Et y'a t-il moyen une fois ce stade atteint de revenir en arrière?
Zylpher: Tu ne me feras rien.
Fenrez: Si ça peux te rassurer, non. Je n'ai pas l'intention d'user de moyens dépassés pour analyser la question. J'ai une bien meilleure idée.
Zylpher: Qu'est-ce que c'est?
Fenrez: *sourit* Hum...*place sur le torse de l'elfe plusieurs filaments bleuâtres*
Zylpher: Enlèves-ça !
Fenrez: Sois coopératif, je vais te faire un présent.
Zylpher: Enlèves-les !
Fenrez: Je vais te donner..*active un mécanisme complexe* ...de la mana. 
Zylpher: Non !
Fenrez: En marche ! *appuie sur un bouton*

Les filaments étincelèrent intensément, leurs extrémités brulèrent la peau de Zylpher, mais la douleur se changea vite en plaisir. Le démoniste sentit une puissance émerger en lui, ses yeux s'illuminèrent de mille feux et tous les nerfs de son corps se crispèrent. Fenrez finit par arrêter le flux magique.

Zylpher: *respire très rapidement* En..encore.
Fenrez: Non, ça suffit pour le moment.
Zylpher: J'en veux encore !
Fenrez: Alors c'était donc vrai ! *se réjouit de l'état de l'elfe* Vous êtes une race faible, cela ne fait plus aucun doute. 
Zylpher: Pitié...
Fenrez: Tel un enfant, tu pleures sur ce qu'on te retires. C'est touchant. *enlève les filaments*
Zylpher: Noon ! 

Un flot de puissance arcanique fit trembler les murs, les liens serrant les poignets du démoniste se brisèrent en centaines d'éclats qui volèrent à travers la pièce. L'elfe posa le pied à terre, ses yeux fixèrent Fenrez avec envie.

Zylpher: *essoufflé* J'ai besoin...de plus...de magie !
Fenrez: Je vais t'en donner ! Reste allongé !
Zylpher: Non...Je veux...ta magie. *adresse un sourire de drogué au worgen*
Fenrez: Tu n'as pas le droit ! *recule jusqu'à toucher le mur opposé*
Zylpher: Donnes-moi...mon cadeau...
Fenrez: Ooh putain d'elfes ! Toujours en train de vouloir tout pomper !

Zylpher posa sa main sur le front du worgen, des éclairs magiques se diffusèrent à travers la peau des deux êtres. Le démoniste aspira la totalité de la puissance arcanique du chaman. Quand il en eut fini avec lui, le worgen retomba lourdement au sol.

Zylpher: Merci...

Le démoniste enjamba le corps du worgen et quitta la pièce. Il arriva dans le long corridor vide qui donnait directement vers la sortie. Pendant qu'il marchait calmement, il repensa à tous les endroits qui étaient susceptibles d'abriter un quelconque pouvoir arcanique. Sa soif le tiraillait de douleur, il lui en fallait plus, beaucoup plus. Mais pour le moment, il sentit quelque chose l'observer tout en s'approchant de lui furtivement. L'elfe s'arrêta.

Zylpher: Kruhorn.
Le worgen qui marchait à quatre pattes se remit debout, il salivait de rage et de faim en voyant sa proie s'offrir à lui. Il s'approcha sans se soucier du bruit qu'il pouvait faire.
Zylpher: Tu es puissant. *sourit*
Kruhorn: [Worgen] Je vais te broyer entre mes crocs et recracher ton sang sur ceux qui te chérissent.
Zylpher: Envie d'un second round? *se retourne vers l'animal* Ca me convient.
Kruhorn s'élança brutalement en direction de l'elfe, mais celui-ci fit jaillir des éclairs de l'ombre qui repoussèrent le monstrueux worgen plusieurs dizaines de mètres en arrière, il tomba au sol mais se releva directement en lançant une nouvelle offensive.
Zylpher: Je suis d'accord. Ce n'est pas très honorable de te frapper à distance alors que tu essaies de m'approcher. Je vais équilibrer ça...
Le worgen n'était plus qu'à quelques mètres de l'elfe, il s'apprêta à assener deux violents coups de griffes de chaque coté quand soudain, ses bras se bloquèrent: les mains de l'elfe les tenaient fermement au niveau du poignet, Kruhorn était incapable de contrer la force surnaturelle qui s'était emparé du corps chétif de l'elfe et qui lui avait octroyée une force physique au-delà même de ce que pouvait atteindre le worgen massif qu'il était. Zylpher repoussa les bras de la bête et la frappa au visage, le choc en résultant fit vaciller Kruhorn avant de le faire tomber au sol. Encore une fois, il se remit vite de la douleur et voulut se remettre debout.
Zylpher: Reste allongé. 
Les membres de Kruhorn devinrent comme ramollis, il ne pouvait plus se mouvoir et bien que la situation n'allait pas à son avantage, il cracha au visage de l'elfe.
Zylpher: Je vais absorber ta puissance maintenant...
Le démoniste posa sa main sur le front de Kruhorn, mais quelque chose n'allait pas. Il l'enleva avec dégout avant de frapper à nouveau le worgen.
Zylpher: Tu es vide, tu n'as rien qui puisse m'être utile. J'ai perdu mon temps...
Kruhorn: [Worgen] Peu importe les tourments que tu me fera endurer, je ne cesserai de te poursuivre elfe. Je te traquerai jusqu'à mon dernier souffle.
Zylpher: Hmm, alors tu n'es pas décidé à abandonner? Tu es amusant, je ne vais pas te tuer. Tu vois toujours tout, alors je vais te dissuader de m'approcher à nouveau, Kruhorn.
L'elfe se pencha en avant et prit le visage du worgen dans ses mains, ses doigts caressèrent lentement le pelage de la créature avant de s'enfoncer dans son orbite gauche. Kruhorn poussa un terrible cri de souffrance mêlée de fureur. Une fois le travail achevé, le démoniste lâcha le worgen, le laissant se tordre de douleur en se prenant le visage.
Zylpher: A notre prochaine rencontre, je te priverai totalement de la vision.
Le worgen pesta mille injures et menaces dans sa langue et dans toute celle qu'il connaissait, ses hurlements atroces avaient ameutés les quelques habitants restés à la citadelle, parmi ceux-ci, il y avait Kraggen, paralysé d'effroi devant la scène.
Kraggen: Zyl...Zylpher?!
Le démoniste acquiesça d'un léger mouvement de tête avant de reprendre sa marche vers la sortie. Les quelques soldats du Fléau se collèrent contre les murs afin de laisser passer l'entité maléfique.
Nataara: *sort de sa chambre, les cheveux dans tous les sens* C'était quoi?
Kraggen: Zylpher.
Nataara: Il a l'air remonté on dirait. Bon je dois y retourner, j'ai pas fini de me coiffer. *retourne dans sa chambre*

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Créé le 23/05/2010 à 12:37:58 - Pas de modification

Le Cristal Chantant 
Chapitre 69 - Prise de Position 

Zylpher avait quitté la citadelle, mais ceux qui avait assisté à la fin de la scène entre le démoniste et Kruhorn restèrent immobiles en contemplant le plus impitoyable worgen réduit à se lamenter sur son sort. Kraggen décida de partir lui aussi. Il retourna à la petite maison où il avait trouvé Fenrez. Dans l'espoir de retrouver quelques documents il fouilla de fond en comble l'habitation. Jusqu'à ce que...

???: Il n'y a rien ici. 
Kraggen: *regarde autour de lui* Qui est-là?
???: Tu aimerais le savoir hein?
Kraggen: Si vous essayez de me faire peur c'est raté !
???: As-tu peur?
Kraggen: Volhkar?!
???: Non. As-tu peur?
Kraggen: Oui j'ai peur, voila vous êtes content maintenant montrez-vous !
???: *sort de l'ombre* Bouh !
Kraggen: Ah ! *sursaute*
Nataara: Navrée c'était tellement tentant !
Kraggen: Tu m'as suivi?
Nataara: Pas tout à fait non...
Kraggen: Que viens-tu faire ici alors?
Nataara: Bon d'accord, je t'ai suivi. Dans le but de savoir ce qui est arrivé à mon bébé !
Kraggen: Ton bébé...c'est Kruhorn? 
Nataara: Oui ! Il n'a pas voulu que je le touche, ni même me faire voir ce qui le tourmentait à ce point. Il a fait une véritable cacophonie et personne n'en connait les raisons, sauf peut-être toi.
Kraggen: Je suis arrivé bien après, c'est Zylpher. Je ne sais pas comment mais il semble qu'il a eu le dessus sur ton "bébé" cette fois-ci.
Nataara: Idiot d'elfe ! Personne ne surpasse ma tendre peluche !
Kraggen: Ce n'est plus le cas, surtout depuis que tout le monde l'a vu geindre après avoir reçu la correction d'un elfe de sang.
Nataara: Ça suffit ! Vous les elfes, vous êtes si orgueilleux ! Vous pensez tout connaitre, alors que...alors que...bin c'est pas le cas !
Kraggen: Quelle argumentation ! Ça ne peut que venir d'une elfe de la nuit. J'aurai dû te laisser enchaînée au mur dans le donjon d'Utgarde.
Nataara: Et moi, j'aurai dû te donner moi-même la fessée au village worgen.
Kraggen: De quoi?!
Nataara: Pardon?! *lève un sourcil*
Kraggen: T'as pas changée, tu sais jamais ce que tu racontes, faut dire tout le monde s'en fiche de tes petites histoires !
Nataara: Ah ouais? Et toi le...
Kraggen: *embrasse la druidesse*
Nataara: Euh...*son visage prend une très forte teinte rouge*
Kraggen: C'était pour que tu te la fermes.
Nataara: Comment?!
Kraggen: Beh ouais !
Nataara: *pousse le paladin sur le lit et l'attache*
Kraggen: Hey mais qu'est-ce que tu fais?!
Nataara: C'était pour que tu arrêtes de gigoter !
Kraggen: T'as pas changée !
Nataara: Toi non plus !

Non loin de là...

Luvenis: J'en ai marre de marcher !
Volhkar: *se fait porter par Ludwin* Chut et avance ! 
Ludwin: *transpire beaucoup* Monseigneur, s'il était possible de lâcher ce que vous avez mis dans vos poches...
Volhkar: Ah non, j'y tiens à mes pierres ! Ces paladins, toujours en train d'éviter le sport !
Luvenis: Regardez ! Une petite maison !
Volhkar: Ah parfait, un chalet de montagne, nous allons pouvoir nous y reposer !
Luvenis: *frappe à la porte* Y'a quelqu'un?
Volhkar: Il n'y a personne ici, on voit bien qu'elle est abandonnée idiote !

Il ouvrit la porte et entra à l'intérieur. Il trouva Kraggen attaché sur le lit, un sourire gêné aux lèvres, avec plusieurs vêtements en herbe autour de lui.

Kraggen: Salut !
Volhkar: Bonj...C'est quoi ce délire encore?!
Kraggen: Pouvez-vous me détacher? Je suis tombé et mes mains ont atterries pile dans les menottes !
Luvenis: *examine le paladin* Ce sont des jouets !
Kraggen: Hein quoi?!! *regarde les alentours*
Luvenis: Les menottes je parle. Tu peux t'en dégager tout seul.
Kraggen: Ah...*parvient à se libérer* Merci.
Volhkar: Qu'est-ce que...*prend un des vêtements* Kraggen?
Kraggen: C'est des...euh..c'est la pelouse que j'ai trouvé au premier, apparement Fenrez collectionnait les...euh...l'herbe.
Volhkar: Paladin, je crois que je n'ai pas envie d'en savoir plus. 
Kraggen: *pousse un soupir de soulagement*
Volhkar: En fait si !
Kraggen: Quoi?!
Volhkar: Pourquoi vois-je une druidesse nue ramper jusqu'au salon?
Kraggen: Saletée de naturiste !
Ludwin: Monseigneur est clairvoyant !
Luvenis: Monseigneur voit plutôt des obscénités à travers ses lunettes.
Volhkar: Il suffit ! Bien, je dormirais dans une autre pièce !
Luvenis: Je pense que moi aussi...
Kraggen: Je vais rester là pour euh...continuer mes recherches.
Ludwin: Je veux bien t'aider !
Kraggen: Ah non ! Je me suis rendu compte que j'avais fini.
Volhkar: Les recherches de quoi?
Kraggen: Oh ce n'est pas grand chose !
Luvenis: Quand est-ce qu'on revoit Zylpher?
Kraggen: *ricane nerveusement* Je n'ai plus envie de le voir.
Luvenis: Comment ça?!
Kraggen: Après ce que...C'est une longue histoire.
Luvenis: J'ai le temps !
Kraggen: Il a mis à terre Kruhorn, complètement K.O.
Volhkar: Dans la caverne?!
Kraggen: Non, dans la citadelle !
Volhkar: Mais que faisait-il là-bas?!

S'en suivit une petite discussion où Kraggen raconta tout ce qu'il savait sur les évènements récents, l'apparition de son double et la surpuissance soudaine de Zylpher.

Volhkar: Eh bien !
Kraggen: Vous me croyez maintenant ! 
Volhkar: Je commence à comprendre l'utilité de l'herbe ici.
Kraggen: Je ne suis pas fou ! J'ai vu tout ça !
Volhkar: Enfin, si ce que tu racontes est vrai, ce sont plutôt des bonnes nouvelles.
Kraggen: Mais non !
Volhkar: Zylpher est devenu un allié plus puissant et va pouvoir être utile, nous avons un nouvel allié qui te ressembles ce que va peut-être aussi doubler ton utilité très insuffisante, et Kruhorn est hors d'état de nuire.
Kraggen: Sauf qu'il est très possible que mon jumeau soit maléfique puisqu'il a été réanimé pour servir le Roi-Liche, et Zylpher, j'ai senti la Légion Ardente en lui. Kruhorn est très résistant, il s'en remettra et aura surement une envie de tuer multipliée au centuple !
Volhkar: Il n'en fait plus partie, maintenant il m'obéit ! Grâce à cette télécommande ! *sort un petit boitier de sa poche* J'appuie sur un bouton et hop !
Le démoniste apparait devant le réprouvé.
Volhkar: Voila, voyez !
Zylpher: Volhkar. *regarde Kraggen méchamment*
Luvenis: Que s'est-il passé?
Zylpher: Dans les cavernes j'ai combattu Kruhorn, il a contré tous mes maléfices et dans un dernier espoir je suis parvenu à m'enfuir grâce à un portail à la surface. Mais il m'avait blessé et la douleur m'a fait perdre connaissance. Je me suis réveillé dans cette maison en compagnie de Fenrez, il voulait pratiquer une expèrience sur moi, c'est là qu'est apparu Kraggen.
Luvenis: Kraggen?!
Kraggen: Surement mon double maléfique...
Zylpher: Ils m'ont transporté à la citadelle, surement par manque de moyens ici, là-bas je suis resté seul durant dix bonnes minutes. Je suis incapable de dire ce qui s'est passé entre les deux, mais Fenrez était plutôt amical envers Kraggen.
Kraggen: Il fait partie du Fléau, je vous l'avais dit.
Zylpher: Après ce laps de temps, Fenrez est revenu vers moi, mais j'ai senti la présence de Kruhorn.
Volhkar: Un détecteur?
Zylpher: Je savais qu'il était proche. quand j'en ai parlé à Fenrez, il a pris peur et m'a caché de son chef. Il a dit après qu'il s'était protégé et a commencé à poser des fils blancs sur moi.
Volhkar: Tu veux dire que Fenrez t'as...*fait des gestes bizarres*
Zylpher: Non.
Volhkar: Ah d'accord.
Zylpher: Il m'a dit qu'il voulait savoir quand un elfe de sang devenait déshérité, et s'il pouvait redevenir elfe après ça...Alors il m'a injecté une grande quantité de mana dans le corps. La puissance qui m'avait envahi était telle que j'ai pu aisément briser les liens me retenant prisonnier. J'ai ensuite aspiré la puissance arcanique du chaman.
Volhkar: T'es un bon soldat ! Bien !
Zylpher: Je suis sorti de la pièce, et j'ai commencé à marcher vers la sortie. Je savais que Kruhorn n'était pas loin, mais cette fois là, il n'était pas le plus puissant. Je l'ai vaincu et éborgné, signe de sa défaite face à un démoniste plus puissant de la Légion.
Volhkar: Bravo ! Euh...de la Légion?
Zylpher: J'ai vu Kraggen, c'était toi, n'est-ce pas. J'en étais certain à ce moment que ce n'était pas une illusion.
Kraggen: Je...
Volhkar: Houla stop, là je comprends plus rien.
Zylpher: Demandes à ce cher paladin qui sert le Fléau depuis sa récente résurrection au temple troll.
Luvenis: Alors tu étais bien mort?
Kraggen: Hem...Et toi tu sers la Légion Ardente !
Zylpher: J'ai entendu son appel. Je suis resté trop longtemps privé de mes pouvoirs et sa parole n'avait su m'atteindre. Mais maintenant, il veut que je revienne.
Volhkar: C'est moi ton maître ! *appuie plusieurs touches de sa télécommande*
Zylpher: Plus maintenant, Volhkar. C'est fini. Je ne m'opposerai pas à vous de plein gré, mais si vous cherchez à me nuire. Je n'aurai d'autre choix que de répliquer. *disparait dans un nuage de feu*
Volhkar: *se tourne vers Kraggen* C'est quoi ça?
Kraggen: Je n'en fait pas partie ! je vous jure !
Nataara: *se racle la gorge*
Volhkar: Nataara?! Pourquoi ces vêtements d'homme?
Nataara: *habillée en fermier* Sachez que... enfin voila ! *se sauve*

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Créé le 23/05/2010 à 12:38:45 - Pas de modification
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