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C’est étonnant. Aujourd’hui, un collègue m’a demandé de quel coin je venais en France. Je lui réponds centre est, une ville du nom de Dijon. Il me répond « moutarde » ! Et je viens de me rendre compte qu’il est le troisième à me dire « mustard » que je comprenais « master ». Forcément ce n’est pas la même chose… Donc voilà une belle constatation, Dijon est mondialement connu pour sa moutarde, et nous on ferme l’usine AMORA plutôt que de perpétrer l’image ! Belle mentalité !

 

Sinon en sortant du boulot hier, je suis allé faire un tour dans une rue commerçante. Dès 17h30, 18h, on m’a fermé deux fois la porte au nez ! La première, j’étais devant une vitrine, je fais mine de vouloir entrer et voilà que je n’étais pas allée assez vite et le corpulent commerçant tout tatoué rabat la porte en me jetant un coup d’œil. Bon ben tant pis on continue la balade, 3 magasins plus loin, je vois dans une boutique un peu sombre, des t-shirts avec tête de mort, des bibelots ou armes blanches tout droit sortis des aventures de World of Warcraft ou Le Seigneur des Anneaux. C’est bientôt l’anniversaire de Quentin, et vu qu’il est fan de ce genre de truc, je décide d’aller jeter un coup d’œil. Je fais deux pas dans le magasin lorsque je m’aperçois que la tenancière vient de stopper net sa course vers la porte d’entrée. Elle me regarde de haut en bas, je lui demande si elle veut fermer boutique, pas de réponse. La femme est du style cinquante ans, vêtements masculins noirs, tatoués de partout, bandana rouge qui tient la tignasse et lunettes noires dans une pièce sombre. Elle m’adresse un gentil sourire. Je me dis que je ne dois pas être le genre de personnes qu’elle a comme client donc elle n’a pas envie de prendre la peine de faire du rab ! Ok demi tour, je repasserai peut être plus tard !

 

Sinon, dans un autre style, les boutiques vintages ont la cote dans le coin ! C’est un véritable cours d’histoire, on trouve toutes les époques, même des vestes militaires. Les bottes de cow-boys s’alignent par terre et j’ai même retrouvé la copie des pompes d’une de mes grand-mères. Le plus hilarant ce sont les anciens maillots de bain d’un doigt d’épaisseur imprimés de motifs de papier peint. Je pense qu’on peut remonter jusqu’aux années trente avec facilité. Fascinant !


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Créé le 23/01/2009 à 07:17:46 - Pas de modification
J’en ai des choses à raconter…
 

Tout d’abord, petit compte rendu de réunion. J’ai donc eu un entretien avec ma directrice (le directeur était en rendez-vous d’affaire). Elle a répondu à mes questions sans réticence, même sur le sujet du chiffre d’affaire. Aux questions concernant le stagiaire, elle m’a dit tout net que j’étais la première stagiaire, c’est une expérience qu’elle n’a pas organisée et n’a donc aucune attente quant à mon travail ou mon attitude. Elle est bien bonne celle là, je vais mettre quoi dans mon rapport de stage ? Je lui ai ensuite présenté ma requête : pouvoir travailler, tout du moins suivre un projet, de A à Z. Je lui ais demander si je pouvais apprendre à me servir d’Umbraco, le CMS pour faire des sites « faciles ». Au final, elle m’a présenté un projet de site communautaire pour des futurs docteurs, les étudiants dits « internes ». Bref, je suis ressortie satisfaite, si tout se passe comme il a été dit, je vais finir par ne plus m’ennuyer… A voir.

 
Le weekend maintenant !
 

Ahhhhhh… C’était bien ce weekend de trois jours. Eh ouais, lundi, donc aujourd’hui c’est l’anniversaire d’Auckland donc personne ne bosse. Enfin presque, la plupart des magasins sont toujours ouverts. C’est vrai qu’ici les shops sont ouverts 7j/7, le dimanche et le lundi pas de souci à se faire, on peut sortir trainer dans les rues commerçantes pour s’occuper l’esprit en se faisant cramer au soleil. Mais il y a mieux quand même pour se faire dorer la pilule : la plage. Nous sommes donc partis à l’assaut des « beach » du coin parce que samedi il faisait chaud et qu’en trois semaines, je n’avais toujours pas mis un doigt de pied dans l’océan Pacifique. Quelle honte ! Nous sommes partis en bus pour descendre à la première plage. Une boutique de glace « Suisse » nous tendait les bras, je n’ai pas pu résister et j’ai embarqué les deux autres pour s’offrir un cornet croustillant tout juste sorti du four. Dans le coin, ils ne connaissent que les glaces vanilles brownie ou pépite de chocolat, caramel… Bref, ils en font de très bonne, mais les sorbets ce n’est pas leur fort. Le choix : fraise ou citron. Pas très gouteuse, et la glace chocolat ce n’est pas du chocolat noir d’équateur ! Non mais c’était bien bon quand même surtout qu’il propose des espèces de coulis de fruits ou choc, ou plein d’autres trucs que je ne comprends pas et c’est super bon. Donc nous voilà sur le bord de la plage relativement calme pour le monde qui s’y trouve. On déguste, on repart, on marche 3 km pour arriver 2 plages plus loin dans un quartier du nom de « St Hélier ». Pour la petite histoire, il existe un village de ce nom en côte d’or et une personne chère à Charlène y habite donc pas moyen d’y couper. Nous posons enfin nos serviettes, enfilons les maillots et partons à l’attaque de la mer. Pas de vague, juste quelques remous et le sable est en fait composé uniquement de coquillages cassés, pas très agréable pour les pieds.

 

Mmmmh, elle est chaude ! Nous voici très vite désappointé en constatant que nous marchons sur de la boue collante et un tapis touffu d’algues gluantes. Beuark ! Ca n’empêche pas de nager ou de faire la planche en se laissant porter par les vagues. En plus, des courants d’eau chaude arrivent à intervalles réguliers. Quel délice de se dire que nous sommes en train de griller sous un soleil de plomb, en train de se délasser dans l’océan, pendant que certains subissent la neige, la pluie, le froid (eh oui c’est vous), et que d’autres étudiants ont choisi d’aller se geler à -30° au Canada ! Elle est pas belle la vie ? Dans ce genre d’instant, je vous jure que oui… ^^

 

Après un tour de la plage pour Charlène, la pêche au coquillage pour Quentin (cf photo du poisson en coquillage) et une grillade au soleil avec un bouquin sous le nez pour ma part, nous revoici parti pour la première plage que nous avons rencontré. La « promenade » comme ils appellent ça ici, est en fait un alignement face à la mer de petits bars et restaurants proposant des nourritures italienne, soit disant française, indienne… Il n’y a pas grand-chose à voir, nous décidons donc de s’en retourner à la plage. Il y a une énorme fontaine avant la plage et des enfants de tous âge jouent dedans, ben oui c’est pas interdit d’aller polluer la fontaine dans le coin… Non mais ils ont raison, ça met de l’ambiance croyez-moi. J’ai remarqué aussi que même si la population est en majorité asiatique, la plage elle, est à une explosante majorité de Maori ! Sans compter les touristes bien sûr qui se reconnaissent parce qu’il porte des vêtements (pas des bouts de tissus) ou parce qu’ils causent Français, car c’est vrai qu’on entend relativement souvent parler notre très chère langue natale. Enfin, nous voilà à nouveau mouillé, mais cette fois-ci l’eau est gelée (surement parce qu’on a trop chauffé sur l’autre plage), mais nous marchons sur du sable et sans algue ! La classe. Plus tard, on loupe le bus, et deux autres ne passent pas, total : Charlène devra encore faire 5km à pince pour rentrer chez elle (au lieu de 2km5).

 

Le lendemain dimanche, nous montons en haut de la Sky tower pour admirer la vue imprenable des environs. C’est vrai que c’est très chouette. Pour info, la tour mesure 328m de haut pour 324m de la part de notre tour Eiffel ! Je suis sur qu’ils ont fait exprès de la construire plus haute, surtout que si on enlève la grande pointe qui coiffe la tour, elle est plus petite que le tour Eiffel, et on ne peut grimper que jusqu’à 220m de haut. Ce qui m’amuse, c’est que sur le carton qu’il donne à l’achat du billet, on voit la Sky tower, la tour Eiffel, la tour de Sydney et celle de Vienne, toutes ces tours sont présentées avec leur taille… Sinon l’attraction est de sauter de la tour un peu comme à l’élastique mais pas aussi libre. C’est le sky jumping, très sympa de se jeter sur la ville !

 

Aujourd’hui maintenant. Nous avons pris le ferry pour nous rendre sur une île du nom de « Rangitoto ». C’est un ancien volcan, recouvert d’une végétation touffue. Nous avons marché et grimpé pendant trois bonnes heures et minimum 15km. Le point de vue est magnifique. Les photos ne rendront pas tout l’honneur mais ca donne une idée. Les cailloux sont rouges, noirs, bordeaux. Le sable est noir et les criques ou petit bout de plage sont superbes, mais on n’avait pas prévu les maillots de bain… Sniff. Le problème est qu’on n’aurait pas pu redécoller  si on avait fait trempette. Les petits bateaux trouvent toujours les bons coins difficiles d’accès pour aller se faire une petite baignade, résultat, on ne voyait que des bateaux ou voiliers dans la crique, comme partout sur le paysage d’ailleurs. On est rentré achevés par le weekend de piétinement, mais enchantés par les images…


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Créé le 26/01/2009 à 10:13:28 - Pas de modification

  J’ai passé la journée d’hier avec l’homme que je comprends le moins dans cette boîte. Il était chargé de m’expliquer le fonctionnement d’Umbraco et de m’aider à construire le petit site dont j’avais fait le design. J’ai quand même réussi à la comprendre donc je fais un peu de progrès mais c’est exténuant de rester concentrée sur sa voix pour saisir les mots, les mettre en mémoire pour enfin saisir le sens de la phrase. En plus il parle vite et fait des phrases à rallonge… Bref. Sinon c’est intéressant mais hyper compliqué, rien à voir avec ce dont on se sert à l’IUT pour nos projets tuteurés. C’est pour ça qu’il m’a fallu la journée entière d’aujourd’hui pour décortiquer ce qu’on a fait hier et en faire un résumé simplifié de trois pages pour mon rapport de stage (accessoirement pour comprendre et mettre en ordre dans ma petite tête par la même occasion). C’est incroyable, à chaque fois que je rajoutais du code dans le script qu’on faisait « ensemble », il me disait « You are crazy ! ». En fait les programmeurs on chacun leur façon de faire et les autres c’est jamais bien, m’enfin ce n’est pas grave on s’adapte on est là pour ça. Du coup en fait il a tout fait et j’ai regardé, il me disait quoi faire et j’exécutais, mais question pédagogie il repassera ! Ensuite il est partie coder en langage que je ne connaissais pas pour faire le menu, est revenu me montrer et lorsque je lui ais posé une question, il a soufflé un soupir en rigolant et m’a gentiment montré en disant que c’était du code trop compliqué. Bon ben très bien, on va cibler les questions à l’avenir ! Du coup je le remercie à la fin de la journée pour son aide, réponse « Je suis payé pour ça ! » avec un bon éclat de rire habituel...

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Créé le 28/01/2009 à 04:16:05 - Modifié le 28/01/2009 à 04:16:24

J’avais une question qui commençait à me turlupiner et j’ai finis par la poser à mon voisin le sri lankais : « Est-ce que ses pensées, et ses rêves sont en anglais ou dans sa langue natale ? » Eh bien figurez-vous qu’après dix ans passés dans le pays, il pense et rêves dans les deux langues. Je n’ai pas pu lui soutirer de proportion mais en tout cas il m’a dit qu’il était parfois plus facile d’exprimer des concepts ou des idées en anglais plutôt que dans sa langue natale. Amazing !

Et maintenant le restaurant japonais ! Tout d’abord c’était très bon, étonnant et spécial, mais intéressant. Ils nous ont servi des bières blondes légères, je n’aime pourtant pas énormément la bière mais ce fût la boisson du repas et c’est plutôt bien passé. Ensuite nous avons eu droit à une soupe en apéritif, et amuse-bouche de chips de fruits de mer. On a commandé chacun quelque chose de différent et on a partagé tout ça, en piochant un peu dans tous les plats. Donc j’ai pris de sushis, en fait ce sont un amalgame de riz blanc surmonté d’une fine tranche de poisson cru. Il y avait de la crevette, du saumon et un poisson blanc. Je n’ai même pas pu gouter de tous les types. Il y avait des sashimis, ce sont uniquement des tranches de poisson cru. J’ai gouté aussi de la viande, je crois du bœuf, dans une merveilleuse sauce épicé, la viande fondait dans la bouche, vraiment délicieux. Et enfin, est arrivé un plat recouvert d’un truc bizarre qui bougeait ! On aurait dit des minuscules crevettes qui se débattaient ! Il s’est avéré que c’étaient de fins morceaux de thon, qui chauffés et versés sur le plat, continuaient de crépiter… Très amusant. Ce plat était constitué de légumes, noodles, calamar, crevettes et beaucoup d’oignons… Enfin, le plus étonnant sont les moules, elles font cinq fois la taille de nos moules françaises. Bref, cet assemblage de saveurs et de produits différents est difficile à digérer, (même pour moi qui mange de plus en plus épicé ici), le dessert était bienvenu, ainsi que le saké ! Ils ne proposent que cinq desserts. J’ai pris une glace au thé vert, servi avec une grosse tige de menthe et donc du saké, amené chaud dans une petite jarre. Cet alcool n’est pas fort contrairement à ce que l’on croit, entre 20 et 30° je pense. Il ressemble à la vodka mais en plus subtil et réellement meilleur à boire seul. Je suis ressorti enchantée par le repas, même si nous n’avons pas beaucoup parlé, j’ai pu apprécier le fait d’être capable de rire de bon cœur en entendant Yves (le mari de Séverine) raconter des situations cocaces en anglais aux amis de sa femme. Bref, c’est pas bien glorieux mais ça fait plaisir de commencer à pouvoir suivre une conversation.

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Créé le 30/01/2009 à 03:24:42 - Modifié le 30/01/2009 à 03:25:52

Je commence à prendre l’habitude de me lever en avance pour aller faire un jogging à 7h du matin. Je me dirige tout le temps vers le parc qui abrite le zoo, cela me permet de sentir les fientes d’oiseaux plutôt que les gaz de pot d’échappement… Je ne sais lequel est le plus toxique m’enfin. Il y a tellement d’oies et de canards qu’un fabricant de foie gras serait au ange (car ils sont élevés en plein air et pour pas un rond) ! Je croise des lapins qui ne sortent que le matin lorsqu’il n’y a personne et les oiseaux ne sont absolument pas dérangés lorsque je passe à 50 cm d’eux en courant. Il n’y a que les petites boules de duvets, tout juste sorti de l’œuf pour piailler en s’enfuyant vers maman. N’empêche que je croise tous les jours des joggeurs ou marcheurs dans les allées du parc, mais jamais avant 8h le dimanche et 6h45 la semaine. En fait lorsqu’ils ne sont pas obèses ou en surpoids, les gens sont secs comme des haricots. Non je n’exagère presque pas.

 

Sinon ce weekend nous sommes allés visiter un aquarium pour observer les pingouins. Quentin n’a pas payé sa place car c’était son anniversaire donc ils l’ont laissé passer gratos ! Mais c’était un chouia décevant car cher pour pas tant de choses que ça. Nous avons pu voir une reconstitution d’une ancienne base de recherche datant du début du siècle dernier, sur le pôle sud. De multiples petits bassins remplis de crustacés était éparpillés là ou nous attendions pour monter dans une cabine qui fait le tour de l’enclos (réfrigéré à 1°C) des pingouins. Une visite trop rapide, du coup on est revenu plus tard pour voir ces pauvres bestioles enfermées à trente dans environ 15m². On a pu passer ensuite dans un couloir ou les poissons et requins nageaient autour et au dessus de nos têtes. Très intéressant mais peu pratique pour les photos, en plus ma batterie à lâché et je n’ai pas eu le loisir de prendre des photos de multiples poissons plus originaux les uns que les autres. Je suis toutefois restée plantée 10 bonnes minutes à observer attentivement des hippocampes. C’est génial ces petites bêtes là, leurs yeux sont indépendants l’un de l’autre, la nageoire dorsale est composée de plusieurs brins qu’ils font vibrer presque indépendamment aussi. Bref…

 

Le soir, nous avions réservé une table à un « seafood restaurant ». On a attendu entre trois quart d’heure et une heure pour être servi. Il y a du avoir un bug parce qu’on a eu le temps de voir arriver et repartir les gens autour de nous. Ils font payer le pain 3$ la petite barquette içi et les desserts ce n’est vraiment pas leur fort. Une petite liste de à peine 10 desserts et cher pour le résultat. Mais le repas était quand même relativement hors de notre quotidien. Pour 66$, Charlène et moi avons partagé une assiette de fruits de mer et poisson. Le moment a donc été historique lorsque j’ai gobé, mâché et avalé une huître. Bon, ça n’a pas vraiment de goût et ne vaut pas tout le tapage que l’on en fait. M’enfin le reste a rattraper la mauvaise humeur dût à l’attente. D’ailleurs la chef n’arrêtait pas de jeter des coups d’œil à la table et n’a pas osé venir nous demander comment ça se passait avant de voir la moitié du plat disparaître. Dans le plat justement, a part les quatre huîtres, nous avons trouvé une bonne dose de crevettes décortiquées, d’autres à moitié mais qui avaient cuit dans une sauce délicieuse, des moules trois fois plus grosse qu’en France, du poisson blanc tendre, du saumon fumé, et des boulettes de poisson pané très sympathique. Quentin pour sa part, a préféré une assiette de dorade au beurre à l’ail, un pur délice.

 

Dimanche nous avons visité l’autre côté du port, une presqu’île coiffé du quartier de Devonport. La rue marchande est composée essentiellement de cafés, et la plage ou nous nous sommes rendu abritait en fait un mariage d’Irlandais en kilt ! Nous n’avons pas pu atteindre un endroit ou nous n’avions plus pied dans l’océan, même à 150 mètres de la plage on en avait à la poitrine. Enfin moi, donc imaginer les autres bien plus grands !

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Créé le 02/02/2009 à 08:29:04 - Pas de modification
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